La nuit s'était déjà passée pres'que entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin , j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer;... Revue française - Page 1371828Full view - About this book
| Frederick Leypoldt, L. Pylodet - French literature - 1870 - 324 pages
...au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille parla cheminée,qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement...bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux?" À quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant... | |
| Ferdinand Bôcher - French language - 1870 - 296 pages
...qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguaparfaitement ces propres mots du mari : Eh lien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi...répondit : Oui. — Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez... | |
| Ferdinand Bôcher - French language - 1871 - 254 pages
...j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...répondit : Oui. — Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corpsfroid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez... | |
| H Wilhelm Ehrlich - 1871 - 356 pages
...j'entendis au-deesous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; en prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots5 du mari : " Eh bien enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux? " à quoi la femme répondit:... | |
| Ferdinand Bôcher - 1870 - 298 pages
...j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...répondit : Oui. — Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez... | |
| Victor Fournel - Anecdotes - 1872 - 626 pages
...j'entendis, au-dessous de moi, notre hôte et sa femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...faut-il les tuer tous deux? » A quoi la femme répondit : « Oni. » Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon... | |
| Victor Fournel - Anecdotes - 1872 - 642 pages
...j'entendis, au-dessous de moi, notre hôte et sa femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle, d'en bas, je...bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux? i> A quoi la femme répondit : K Oui. » Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - French language - 1873 - 388 pages
...j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...femme répondit: Oui. Et je n'entendis plus rien. ^ ^-f1 :* ^ --•-; Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un... | |
| F. Duffet - 1873 - 506 pages
...distinguai parfaitement ces propres mots du mari : " Eh Vttn .' enfin, voyons, faut-il les tuer tons les deux ? " A quoi la femme répondit : " Oui." Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? Je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre : à me voir, vous n'eussiez... | |
| Victor Fournel - Anecdotes - 1876 - 630 pages
...prêtant Voreille par la cheminée qui communiquait avec celte d'en bas, je distinguai parfaitement ce§ propres mots du mari : « Eh bien ! enfin, voyons,...deux? * A quoi la femme répondit : « Oui. » Et j« n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comnK... | |
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