La nuit s'était déjà passée pres'que entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin , j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer;... Revue française - Page 1371828Full view - About this book
| Anecdotes - 1878 - 296 pages
...notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et, prêtant l'oreille par la cheminée qui communique avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces...mari: " Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux?" A quoi la femme répondit : " Oui." Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai... | |
| Société academique de Brest - 1879 - 440 pages
...veillai. Au jour, prêtant l'oreille par la cheminée, je distinguai ces mots du mari : « Eh bien , faut-il les tuer tous deux ?» A quoi la femme répondit: « Oui », et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? Je restai respirant à peine , tout mon corps froid comme un marbre. Au bout d'un quart... | |
| George Eugène Fasnacht - 1880 - 236 pages
...j'entendis au-dessous de moi notre 10 hôte et sa femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...femme répondit : Oui. — Et je n'entendis plus rien. 15 Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir,... | |
| George Eugène Fasnacht - 1880 - 286 pages
...parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien ! par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? — A...femme répondit : Oui. — Et je n'entendis plus rien. 15 Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir,... | |
| Frédéric Julien - 1883 - 204 pages
...notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communique avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces...: " Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux?" À quoi la femme répondit: "Oui." Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai... | |
| Larive (pseud.), Fleury - French language - 1883 - 548 pages
...loin, j'entendis au-dessous de ra,ç4, . ; . l'hôte et sa femme se disputer, et, prêtant l'oreille, je distinguai,,' parfaitement ces propres mots du mari : « Eh bien! enfin, voyons,, r> i faut-il les tuer tous deux ?» A quoi la femme répondit : Oui. Et je . n'entendis plus rien.... | |
| George Eugène Fasnacht - Readers - 1884 - 236 pages
...j'entendis au-dessous de moi notre 10 hôte et sa femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux 1 — A quoi la femme répondit : Oui. — Et je n'entendis plus rien. 15 Que vous dirai-je? je restai... | |
| Alexandre Vessiot - Education - 1886 - 450 pages
...j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femim parler et se disputer; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? » À quoi la femme répondit : H Oui. » Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? Je restai... | |
| George Eugène Fasnacht - 1888 - 272 pages
...au-dessous de moi notre io hôte et sa femme parler et se disputer ; et, prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je...femme répondit : Oui. — Et je n'entendis plus rien. 15 Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir,... | |
| Heinrich Saure - French language - 1888 - 324 pages
...hôte et 9» femme parler et se disputer; et, prêtant l'oreille par la ohoîflinée qui communique avec celle d'en bas , je distinguai parfaitement ces propres mots du mari: nEh bien î enfin , voyons, faut-il les tuer tous les deux?" A quoi la, fotntno répondit: nOui." Et... | |
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