Les moralistes français du seizième siècle |
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Page 28
... embrasser l'exem- plaire à plusieurs reprises , sans vénérer cette sainte intelligence inspirée par le ciel . » Érasme donnerait Scot et ses pareils pour Cicéron et pour Plutarque ; 28 LES MORALISTES FRANÇAIS DU XVIa SIÈCLE .
... embrasser l'exem- plaire à plusieurs reprises , sans vénérer cette sainte intelligence inspirée par le ciel . » Érasme donnerait Scot et ses pareils pour Cicéron et pour Plutarque ; 28 LES MORALISTES FRANÇAIS DU XVIa SIÈCLE .
Page 29
Albert Desjardins. Scot et ses pareils pour Cicéron et pour Plutarque ; la lecture des premiers le rend froid pour la vertu , ardent pour la dispute ; il devient meilleur à la lec- ture des seconds . Quand il entend Caton , dans le de ...
Albert Desjardins. Scot et ses pareils pour Cicéron et pour Plutarque ; la lecture des premiers le rend froid pour la vertu , ardent pour la dispute ; il devient meilleur à la lec- ture des seconds . Quand il entend Caton , dans le de ...
Page 58
... Plutarque l'instituteur de Montaigne , donne le ton à la tra- gédie . Ce serait se faire illusion que d'attacher une valeur doctrinale aux maximes ainsi reproduites , que de prêter une intention philosophique à ceux qui les traduisent ...
... Plutarque l'instituteur de Montaigne , donne le ton à la tra- gédie . Ce serait se faire illusion que d'attacher une valeur doctrinale aux maximes ainsi reproduites , que de prêter une intention philosophique à ceux qui les traduisent ...
Page 201
... Plutarque , « donner témoignage de mépriser Dieu et quand et quand de craindre les hommes 2. » C'est la lâcheté du mensonge qui fait l'injure du démenti . Il n'est pas non plus de vice plus funeste à la so- ciété des hommes ; le lien en ...
... Plutarque , « donner témoignage de mépriser Dieu et quand et quand de craindre les hommes 2. » C'est la lâcheté du mensonge qui fait l'injure du démenti . Il n'est pas non plus de vice plus funeste à la so- ciété des hommes ; le lien en ...
Page 263
... Plutarque ; n'est - ce pas qu'il s'est fait le disciple de l'un ou de l'autre ? Il y a quatre auteurs dont les doctrines morales furent certainement familières à Montaigne : Cicé- ron , Épicure ou plutôt son école , Sénèque et Plu ...
... Plutarque ; n'est - ce pas qu'il s'est fait le disciple de l'un ou de l'autre ? Il y a quatre auteurs dont les doctrines morales furent certainement familières à Montaigne : Cicé- ron , Épicure ou plutôt son école , Sénèque et Plu ...
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Common terms and phrases
âme Aristote autrui Bayle besoin Bodin Boétie Charron chasteté cherche choses chrétienne Cicéron civile Claude Haton condamne conseils d'autrui devoirs envers Dieu dix-septième siècle doctrine doit donne doute enfants Épicure épicuriens Érasme esprit Essais force François Ier gloire goût guerre hommes humaine idées inspire jugement jurisconsultes juste justice l'âme l'amitié l'amour l'esprit l'homme l'Hospital l'intérêt laisse liberté livre lois lui-même mademoiselle de Gournay magistrat ment mœurs Molière monde Montaigne montre n'en nature naturelle non-seulement obligations païens Papinien Pascal passer passions pensée peuple peut-être philosophie Pibrac plaisir plaisirs Plutarque poëtes politique Port-Royal pratique premier prince principes promesses propre raison rale recommande réforme règle religieux religion respect rien Ronsard Rousseau s'il sage sagesse saint Saint-Évremond Sainte-Beuve scepticisme sceptique science seizième siècle Sénèque sentiment seulement sévère sincère Socrate souvent stoïciens stoïcisme sujets taigne théorie tion Traité trouve Vair vérité vertu vertueux veut vices volonté vrai
Popular passages
Page 522 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs.] Traduit en russe par Paul Potemkine, 1768.
Page 527 - LE premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile...
Page 463 - La première était d'obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la religion en laquelle Dieu m'a fait la grâce d'être instruit dès mon enfance, et me gouvernant, en toute autre chose, suivant les opinions les plus modérées, et les plus éloignées de l'excès, qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j'aurais à vivre.
Page 475 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants ; c'est là ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Page 530 - Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi.
Page 59 - Fais ce que voudras, parce que gens libres, bien nés, bien instruits, conversant en compagnies honnêtes ont par nature un instinct et aiguillon qui toujours les pousse à faits vertueux et retire [détourne] de vice, lequel ils nommaient honneur.
Page 132 - ... peine au sable des tournois ; non pas qui puisse par force commander aux hommes, mais tout empêché...
Page 473 - Le sot projet qu'il a de se peindre! et cela non pas en passant et contre ses maximes, comme il arrive à tout le monde de faillir; mais par ses propres maximes et par un dessein premier et principal.
Page 197 - II ne faut pas tousjours dire tout, car ce seroit sottise ; mais ce qu'on dit, il faut qu'il soit tel qu'on le pense, autrement c'est meschanceté.
Page 224 - Il ya grand doute, s'il se peut trouver si évident profit au changement d'une loi reçue, telle qu'elle soit, qu'il ya de mal à la remuer...