Histoire des girondins, Volumes 1-2Meline, Cans et cie, 1847 - France |
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âme amis applaudissements aristocrates armée armes avaient Barnave Bouillé Brissot Buzot c'était Camille Desmoulins Champ-de-Mars citoyens clubs cœur commandant comte comte de Fersen conseil conspiration constitutionnel cour crime Danton décret députés devant dévouement dit-il duc d'Orléans Dumouriez éclat émigrés enfants ennemis esprit eût factieux factions fanatisme Fayette femme force fortune foule garde nationale général génie Gensonné Girondins gouvernement Guadet guerre haine hommes Jacobins jeune jour l'âme l'armée l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme Lameth liberté Louis XVI lui-même madame Roland main menaces ment ministres Mirabeau monarchie mort municipalité n'avait n'était nation noblesse officiers outrages palais paroles passion patrie patriotisme pensée Péthion peuple philosophie politique populaire portes pouvait pouvoir premier prêtres prince Prusse puissance qu'un rassemblements reine république reste Révo Révolution révolutionnaire Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret sédition sentiment serait seul soldats sort Stenay tête tion tribune triomphe trône troupes Tuileries Varennes Vergniaud voitures voix voulait
Popular passages
Page 291 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 199 - ... loi; d'employer tout le pouvoir qui m'est délégué à maintenir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale constituante, et à faire exécuter les lois. «Puisse cette grande et mémorable époque être celle du rétablissement de la paix, de l'union, et devenir le gage du bonheur du peuple et de la prospérité de l'empire!
Page 198 - Révolution, soient éteintes dans une réconciliation générale. Je ne parle pas de ceux qui n'ont été déterminés que par leur attachement pour moi ; pourriez-vous y voir des coupables? Quant à ceux qui, par des excès où je pourrais apercevoir des injures personnelles, ont attiré sur eux la poursuite des Lois, j'éprouve à leur égard que je suis le Roi de tous les Français.
Page 295 - La vieille mère de de Lisle, royaliste et religieuse, épouvantée du retentissement de la voix de son fils, lui écrivait : « Qu'est-ce donc que cet • hymne révolutionnaire que chante une horde de brigands « qui traverse la France et auquel on mêle notre nom...
Page 236 - M. le comte d'Artois, se déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement le roi de France comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe.
Page 128 - sauver ma patrie , j'ai voulu sauver le roi et » sa famille : voilà mon crime ! Vous répon» drez de leurs jours , je ne dis pas à moi , » mais à tous les rois ; et je vous annonce que , si » on leur ôte un seul cheveu de la tête, il ne » restera pas pierre sur pierre à Paris.
Page 90 - Messieurs, dit-il, j'avais un frère, bon patriote, qui, par l'estime de ses concitoyens, avait été successivement commandant de la garde nationale et membre du département. Toujours prêt à se sacrifier pour la...
Page 137 - Les grands ne nous paraissent grands que parce que nous sommes à genoux... Levons-nous !... » Le troisième journaliste, un médecin de quarante ans, né dans la Suisse française, à Neufchâtel, était MARAT.
Page 276 - Legendre ; écoutez-nous, vous êtes fait pour nous écouter... Vous êtes un perfide; vous nous avez toujours trompés; vous nous trompez encore— Mais prenez garde à vous ; la mesure est à son comble ; le peuple est las de se voir votre jouet.
Page 42 - Je vais bien plus loin que mes adversaires euxmêmes ! car si cette condition n'est pas remplie, je demande encore la guerre, je la demande, non comme un acte de sagesse, non comme une résolution raisonnable, mais comme la ressource du désespoir; je la demande à une autre condition, qui, sans doute, est convenue entre nous ; car je ne pense pas que les avocats de la guerre aient voulu nous tromper ; je la demande telle qu'ils nous la dépeignent ; je la demande telle que le génie de la liberté...