La médecine et les médecins en France à l'époque de la Renaissance |
Common terms and phrases
Ambroise anatomistes apothicaires artères assez aultres avaient Avicenne bacheliers bains barbiers-chirurgiens bedeaux candidat cause cerveau chaire Charles Charles VIII chaud chirurgical chirurgie chirurgiens choses cœur collège confrérie corps d'après dents devaient digestion dissections docteurs régents douleurs doyen drogues estant esté Estienne estoit estre étudiants examens faculté de médecine femme Fernel fièvres fœtus fractures François Ier froid Galien giens grossesse guère Guy de Chauliac heures Hippocrate humeurs Item Jacques Grévin Jean jours jurés l'anatomie l'enseignement l'estomac l'Hôtel-Dieu l'os l'université l'urine lancettes Laurent Joubert livres maison maistre maître malade matrice méde médicale médicaments mélancholie ment mesme messes Michel Servet Montpellier Moyen-Age muscles nerfs ordonnance Paracelse parfois peste physiologie pituite plaies poumon pratique premier barbier professeurs purgatifs quatre Renaissance sages-femmes saignée Saint-Come salle sang sera seulement sorte souvent statuts suivant Sylvius syphilis thérapeutique thériaque thèse tion traitement ulcères université urines veines ventre ventricule vérole Vésale vessie xvi siècle xviº
Popular passages
Page 583 - ... cerfz limonniers, et aultres telles pinctures contrefaictes à plaisir pour exciter le monde à rire (quel fut Silene, maistre du bon Bacchus); mais, au dedans l'on reservoit les fines drogues, comme baulme, ambre gris, amomon, musc, zivette, pierreries, et aultres choses precieuses. Tel disoit estre Socrates, parce que, le voyans au dehors et l'estimans par l'exteriore apparence, n'en eussiez donné un coupeau d'oignon, tant laid il estoit de corps, et ridicule...
Page 558 - Item, de ne médire d'aucun de mes anciens docteurs, » maîtres pharmaciens ou autres quels qu'ils soient ; » Item , de rapporter tout ce qui me sera possible pour » l'honneur , la gloire , l'ornement et la majesté de la médecine.
Page 369 - Montaigne, j'ai trouvé ici par rencontre de vos nouvelles par la part que M. le maréchal m'en a fait. Je n'épargnerai ni la vie ni autre chose pour votre service, et vous laisserai à juger si celui que je vous puis faire par ma présence à la prochaine élection vaut que je me hasarde d'aller en la ville, vu le mauvais état en quoi elle est, notamment pour des gens qui viennent d'un si bon air comme je fais.
Page 365 - ... des lépreux, devront s'abstenir de pratiquer leur métier pendant un temps déterminé par la justice. Les mêmes prohibitions s'appliquent aux maréchaux qui recevront dans un vase le sang provenant de la saignée des chevaux, et qui iront jeter ce sang aux voiries, hors la ville et les faubourgs. On leur défend aussi d'entretenir leurs forges avec du charbon de terre ; on s'imagine que les vapeurs bitumineuses répandues par ce combustible , alors nouveau , peuvent aider le fléau dans ses...
Page 27 - Ha! que je porte et de haine et d'envie Au médecin qui vient soir et matin Sans nul propos tastonner le tetin, Le sein, le ventre et les flancs de m'amie. Las! il n'est pas si...
Page 334 - Église, comme si personnellement étiez tous les jours assistant au service divin avec les autres. Et, quant à vos petites nécessités, les gens de bien y pourvoiront, et Dieu ne vous délaissera point. Seulement, prenez garde et ayez patience. Dieu demeure avec vous.
Page 191 - ... que mon mary, qui avoit demeuré vingt ans en la maison de feu maistre Ambroise Paré, premier chirurgien du Roy, me pourroit beaucoup apprendre. Je ne m'y pouvois résoudre, quand je pensois à porter des enfans au baptesme. Enfin la crainte que j'eus de voir de la nécessité à mes enfans, me le fit faire. Je me mis à estudier dans...
Page 14 - ... bien tost, et les faisant asseoir auprès d'elle les interrogeoit du jour que la maladie print au malade, et en quelle partie du corps estoit son mal, et conséquemment de tous les effects et signes de la maladie; et pendant que le messager respondoit aux interrogations, Monsieur le Médecin escoutoit tout, et puis sortoit par...
Page 369 - Feuillas, si le mal n'y est arrivé, auquel lieu, comme j'écris à monsieur de la Motte, je serai très aise d'avoir cet honneur de voir quelqu'un d'entre vous, pour recevoir vos commandements et me décharger de la créance que...
Page 477 - Avec ces sortes de guérisseurs le traitement n'était jamais long, deux pansements suffisaient communément ; les blessés esquivaient le troisième en partant pour l'autre monde. Le duc de Merfolk ayant pris le commandement de cette armée, ne tarda pas à être instruit de ce désastre, et pour reconnaître la...