NOTICE SUR LA VIE ET LES OUVRAGES D'ANDRÉ CHÉNIER.... IX SUR LES SUISSES RÉVOLTÉS DU RÉGIMENT DE CHATEAUVIEUX. XLVII (* XVI. O jours de mon printemps, jours couronnés de rose.... XVII. Ah! des pleurs! des regrets! lisez, amis. C'est elle... 15. Partons, la voile est prête, et Byzance m'appelle.. IX. Ah! j'atteste les cieux que j'ai voulu le croire. IV. J'ai vu sur d'autres yeux, qu'amour faisait sourire.. V. AUX PREMIERS FRUITS DE MON VERGER... VI. A FANNY. - Non, de tous les amants les regards, les soupirs.. 256 VII. A LA MÊME. - Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire. 257 I. Un vulgaire assassin va chercher les ténèbres... II. Sa langue est un fer chaud; dans ses veines brûlées.. III. Quand au mouton bèlant la sombre boucherie.. IV. Que promet l'avenir? Quelle franchise auguste.. FIN DE LA TABLE. NOTICE SUR LA VIE ET LES OUVRAGES D'ANDRÉ CHÉNIER. André Chénier succomba dans la trente et unième année de son âge, le 7 thermidor an II, 25 juillet 1794, et ses œuvres ne furent publiées pour la première fois qu'en 1819, c'est-à-dire vingt-six ans après sa déplorable nort. Nous disions, dans la première édition de ces poésies: « André Chénier n'avait laissé dans le souvenir de quelques amis des lettres qu'un nom promis à la célébrité. Sa gloire était moins fondée sur des titres que sur des regrets. Son talent ne fut longtemps attesté que par des fragments du genre de l'élégie; mais ses vers étaient empreints de tant de grâce, ils avaient un tel parfum du génie antique, qu'il semblait qu'ils dussent se conserver dans la mémoire des gens de goût par la tradition du plaisir qu'on éprouvait à les connaître. » Peut-être fallait-il laisser à ce poëte, à la fois inconnu et célèbre, le prestige de sa destinée? Peut-être y a-t-il quelque chose d'irréligieux à soulever le voile qui couvre une renommée d'innocence et de mystère? Pour |