Manuel de littérature françaiseF.-A. Herbig, 1903 - 810 pages |
Contents
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Common terms and phrases
acte ALCESTE avez BARONNE beau bientôt BIOGRAPHIQUE ET LITTÉRAIRE Boileau Britannicus Burrhus C'est-à-dire c'était CHIMÈNE chose ciel Cinna cœur comédie COMTE Corneille coup DESTOURNELLES Dieu donner enfin esprit êtes femme fille François Ier GASTON gens GIBOYER gloire Grèce GRINGOIRE HARPAGON Hernani homme j'ai jamais jeune jour JOURDAIN laisse latin lettres Littérature française livre Louis XIV m'en MADAME JOURDAIN main maître malheureux Manuel de Littérature MARQUISE Molière monde monsieur le marquis mort Napoléon Napoléon Ier NÉARQUE NÉRESTAN Néron NOTICE BIOGRAPHIQUE ORGON ORONTE parler passe pense peuple Phèdre PHILAMINTE pièce poésie poète POIRIER POLYEUCTE premier prince prose qu'un RABAGAS raison reste rien roman sais sang satire scène Seiglière Seigneur sentiments sera SERTORIUS seul siècle Sire sort style succès Tarascon Tartarin Tartarin de Tarascon Tartuffe théâtre Théâtre-Français tragédie trouve VALÈRE VANDERK FILS VERNOUILLET veut veux Victor Hugo vieux voilà Voltaire voulez Voyez yeux Zaïre
Popular passages
Page 497 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 195 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Page 197 - Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 158 - ... de la France, mais aujourd'hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d'un nuage; venez voir le peu qui nous reste d'une si auguste naissance, de tant de grandeur, de tant de gloire. Jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété...
Page 498 - Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit. " Aimons donc, aimons donc ; de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive II coule et nous passons ! '' Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse.
Page 436 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le...
Page 101 - Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre.
Page 387 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte : il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche, et s'anime de la même ardeur ; il partage aussi ses plaisirs : à la chasse, aux tournois, à la course, il brille, il étincelle.
Page 496 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds, Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 94 - Je puis vous dissiper ces craintes ridicules, Madame; et je sais l'art de lever les scrupules. Le ciel défend, de vrai, certains contentements; Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.