Histoire de la Révolution française, Volume 3 |
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Common terms and phrases
10 août accusés allait armée assemblées assignats attaque autorités Autrichiens avaient Barbaroux Belgique bespierre Beurnonville Brissot Busot Buzot c'était camp cause cent Chabot Châlons citoyens Clairfayt comité de surveillance commissaires commune conseil exécutif conspirateurs constitution convention nationale coupables courage crimes Cuesmes Custine Danton déclare décret demande départemens députés devait Dillon dit-il Dumouriez émigrés enfin ennemis ensuite excité fallait fédérés force général girondins Grand-Prey Guadet guerre heures Islettes jacobins Jemmapes jour juger justice Kellerman l'Argonne l'armée l'assem l'assemblée l'ennemi l'inviolabilité Lafayette législative liberté Longwy Louis XVI Louvet Lukner Maillard maire Marat marche massacres membres ment Metz mille hommes ministre mort municipalité n'avait n'était nation ordonna Pache parole patriotes peine Pétion peuple place porter pouvait prisonniers prisons procès projet Prussiens punir rendre répond reproche république révolution Rhin Robespierre Roland royauté s'était Sainte-Menehould Santerre sauver séance sections Sédan septembre serait seul Temple tion toyens tribunal tribune troupes Valmi vention Vergniaud voulaient
Popular passages
Page 93 - Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple, actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les légions de traîtres...
Page 247 - La sensibilité qui gémit presque exclusivement pour les ennemis de la liberté m'est suspecte. Cessez d'agiter sous mes yeux la robe sanglante du tyran, ou je croirai que vous voulez remettre Rome dans les fers.
Page 418 - Citoyens, je vais proclamer le résultat du scrutin. Vous allez exercer un grand acte de justice; j'espère que l'humanité vous engagera à garder le plus profond silence : quand la justice a parlé l'humanité doit avoir son tour.
Page 91 - Fr.ères et amis , un affreux complot , tramé par la cour , pour égorger tous les patriotes de l'empire français , complot dans lequel un grand nombre de membres de l'Assemblée nationale...
Page 384 - En vous parlant peut-être pour la dernière fois , je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. > Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués ! » J'avoue que les preuves multipliées...
Page 92 - Paris avait sauvé la patrie, s'empressait de la destituer pour prix de son brûlant civisme. A cette nouvelle, les clameurs publiques, élevées de toutes parts, ont fait sentir à l'Assemblée nationale la nécessité urgente de s'unir au peuple, et de rendre à la commune , par le rapport du décret de destitution, les pouvoirs dont il l'avait investie.
Page 422 - C'était une lettre ainsi conçue : Citoyen président, Ma santé depuis longtemps affaiblie me rend l'habitude de la vie d'une assemblée aussi orageuse que la Convention impossible. Mais ce qui m'est plus impossible encore, c'est de supporter la honte de m'asseoir dans son enceinte avec des hommes de sang, alors que leur avis, précédé de la terreur, l'emporte sur celui des gens de bien ; alors que Marat l'emporte sur Pétion. Si l'amour de mon pays m'a fait endurer...
Page 383 - ... lui-même dans ses domaines ; le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés : il fit ces réformes ; le peuple voulait que des milliers de Français, que la rigueur de nos usages avait privés jusqu'alors des droits qui appartiennent aux citoyens, acquissent ces droits ou les recouvrassent : il les en fit jouir par ses lois ; le peuple voulut la liberté; il la lui donna!
Page 382 - Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple.
Page 328 - Ier ; car lorsqu'un peuple est assez lâche pour se laisser dominer par des tyrans, la domination est le droit du premier venu et n'est pas plus sacrée ni plus légitime sur la tête de l'un que sur celle de l'autre.