Mémoires de la Société des sciences morales des lettres et des arts de Seine-et-Oise [afterw. Académie de Versailles].1861 |
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Adam Mickiewicz Anne d'Autriche Annonciades Anquetil appelé asure ausy avez bailli bailliage Bois-d'Arcy cepandant cest chant château chere comunauté chere dame chose Clagny cœur Colbert Cougny devant dict Dieu Digard dire donne enfants enfin entretenus esté estre étangs femme fille fleurs gloire homme intitulée j'ai Jeandel jespere jeune jour juge justice l'auteur l'église l'histoire laisse lettres livres Louis XIV machine de Marly madame madame de Montespan main maison maître Majesté mémoire ment mère mesme Messieurs Meulan Mickiewicz mœurs monastère Monsieur MONTALANT-BOUGLEUX morale mort musique œuvres parler passé pensée père personne pièce Pirot Ploix poésie poète Port-Royal Port-Royal-des-Champs premier présent prévôt de l'hôtel prières princesse procureur questeurs quil reine religieuses réservoirs reste rien Roche-Guyon sainte Satory seigneur Seine-et-Oise sentiment sera seul siècle sieur Société souvent supérieure surtout Tartuffe théophilanthropes tion travaux tres chere trouve Vatel Vauchelle Versailles Villeneuve-le-Roi Virgile
Popular passages
Page xvi - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 141 - Car tel est notre plaisir ; et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, Nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes, sauf en autres choses notre droit et l'uni rut en toutes.
Page 145 - Louis, par la grâce de Dieu, Roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir, salut.
Page clxi - Sans herbe : s'il vouloit encor me laisser paître ! Mais je suis attachée : et si j'eusse eu pour maître Un serpent, eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude ? Adieu : j'ai dit ce que je pense.
Page xvi - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil. attachés à la terre qu'ils fouillent et remuent avec une opiniâtreté invincible. Ils ont comme une voix articulée, et, quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine ; et, en effet, ils sont des hommes.
Page 116 - ... je suis avec respect madame votre très humble et très obéissant serviteur.
Page 148 - ... selon leur forme et teneur, cessant et faisant cesser tous troubles et empêchements au contraire. Car tel est notre plaisir...
Page 278 - Les jeux propres à exercer au fait des armes , les courses à pied ou à cheval , les courses de chariot, le jeu de paume , et autres jeux de même nature qui tiennent à l'adresse et à l'exercice du corps , sont exceptés de la disposition précédente.
Page 36 - Si elle veut faire réflexion que l'on verra à jamais dans les comptes des trésoriers de ses bastiments que, pendant le temps qu'elle a dépensé de si grandes sommes en cette maison, elle a négligé le Louvre, qui est assurément le plus superbe palais qu'il y...
Page xvi - certains animaux farouches , des mâles et des femelles : répandus par la campagne , noirs , livides , et tout brûlés du soleil , attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée , et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.