Les moralistes francais du seizième siècle |
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âme autrui Bayle besoin Bodin Boétie cérité Charron chasteté cherche choses chrétienne Cicéron civile Claude Haton condamne conseils d'autrui devoirs envers Dieu doctrine doit donne doute enfants Épicure épicuriens Érasme esprit Essais force François Ier gloire goût guerre hommes humaine idées inspire jugement juste justice l'âme l'amitié l'amour l'esprit l'homme l'Hospital l'intérêt laisse liberté livre lois lui-même mademoiselle de Gournay magistrat ment modération mœurs Molière monde Montaigne montre morale n'en nature naturelle nécessaire non-seulement obligations Papinien Pascal passer passions pensée peuple peut-être philosophie Pibrac plaisir plaisirs Plutarque poëtes politique Port-Royal premier prince principes promesses propre publique raison rale recommande réforme règle religieux religion reproche respect rien Ronsard Rousseau s'il sage sagesse saint Saint-Évremond Sainte-Beuve scepticisme sceptique science seizième siècle Sénèque sentiment seulement sévère sincère Socrate souvent stoïciens stoïcisme sujets taigne théorie tion Traité trouve Vair vérité vertu vertueux veut vices volonté vrai
Popular passages
Page 528 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou. comblant le fossé, eût crié à ses semblables : « Gardez-vous d'écouter cet imposteur ; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne...
Page 522 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs.] Traduit en russe par Paul Potemkine, 1768.
Page 473 - Le sot projet qu'il a de se peindre! et cela non pas en passant et contre ses maximes, comme il arrive à tout le monde de faillir; mais par ses propres maximes et par un dessein premier et principal.
Page 530 - Je forme une entreprise qui n'eut jamais d'exemple et dont l'exécution n'aura point d'imitateur. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature ; et cet homme ce sera moi.
Page 211 - L'estimation et le pris d'un homme consiste au cœur et en la volonté; c'est là où gist son vray honneur; la vaillance, c'est la fermeté non pas des jambes et des bras, mais du courage et de l'âme; elle ne consiste pas en la valeur de nostre cheval, ny de nos armes, mais en la nostre.
Page 520 - Montaigne! toi qui te piques de franchise et de vérité, sois sincère et vrai, si un philosophe peut l'être, et dis-moi s'il est quelque pays sur la terre où ce soit un crime de garder sa foi, d'être clément, bienfaisant, généreux; où l'homme de bien soit méprisable et le perfide honoré.
Page 485 - Il ya quelquefois dans le cours de la vie de si chers plaisirs et de si tendres engagements que l'on nous défend , qu'il est naturel de désirer du moins qu'ils fussent permis : de si grands charmes ne peuvent être surpassés que par celui de savoir y renoncer par vertu.
Page 201 - II ne faut pas tousjours dire tout, car ce seroit sottise ; mais ce qu'on dit, il faut qu'il soit tel qu'on le pense, autrement c'est meschanceté.
Page 271 - C'est à nostre foy Chrestienne, non à sa vertu Stoïque de prétendre à cette divine et miraculeuse métamorphose.
Page 138 - ... peine au sable des tournois ; non pas qui puisse par force commander aux hommes, mais tout empêché...