Histoire de France, Volume 15Perrodil, 1846 |
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... mort du duc de Vermandois qu'elle avait eu du roi , elle dit : Je dois pleurer sa naissance encore plus que sa mort . Il lui resta une fille , qui fut de tous les enfants du roi la plus ressemblante à son père , et qui épousa le prince ...
... mort du duc de Vermandois qu'elle avait eu du roi , elle dit : Je dois pleurer sa naissance encore plus que sa mort . Il lui resta une fille , qui fut de tous les enfants du roi la plus ressemblante à son père , et qui épousa le prince ...
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... mort de cette princesse . Elle ne fit cette donation que dans l'espé- rance que M. de Lauzun serait reconnu pour son époux ; elle se trompa : le roi lui permit seulement de donner à ce mari secret et infortuné les terres de Saint ...
... mort de cette princesse . Elle ne fit cette donation que dans l'espé- rance que M. de Lauzun serait reconnu pour son époux ; elle se trompa : le roi lui permit seulement de donner à ce mari secret et infortuné les terres de Saint ...
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... mort subite et douloureuse l'enleva à l'âge de vingt - six ans , le 30 juin 1670 . La cour fut dans une douleur et dans une consternation que le genre de mort augmentait . Cette princesse s'était crue em- poisonnée . L'ambassadeur d ...
... mort subite et douloureuse l'enleva à l'âge de vingt - six ans , le 30 juin 1670 . La cour fut dans une douleur et dans une consternation que le genre de mort augmentait . Cette princesse s'était crue em- poisonnée . L'ambassadeur d ...
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... mort . Mais la malignité humaine et l'amour de l'extra- ordinaire furent les seules raisons de cette persuasion gé- nérale . Le verre d'eau ne pouvait être empoisonné , puisque Mme de La Fayette et une autre personne burent le reste ...
... mort . Mais la malignité humaine et l'amour de l'extra- ordinaire furent les seules raisons de cette persuasion gé- nérale . Le verre d'eau ne pouvait être empoisonné , puisque Mme de La Fayette et une autre personne burent le reste ...
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... mort , reprochait , avec des plaintes douces et attendrissantes , à la marquise de Coatquen , les malheurs dont elle était cause . Cette dame à genoux auprès de son lit , et arrosant ses mains de larmes , ne lui répondit que par ces ...
... mort , reprochait , avec des plaintes douces et attendrissantes , à la marquise de Coatquen , les malheurs dont elle était cause . Cette dame à genoux auprès de son lit , et arrosant ses mains de larmes , ne lui répondit que par ces ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée attaque Autrichiens avaient bataille bataillons Bavière bientôt blessés Bossuet c'était canons cardinal de Fleury cent clergé coadjuteur Colbert commandait commencement compagnie comte conseil côté cour d'Angleterre d'Espagne déclaration devait don Philippe duc d'Orléans duc de Cumberland duc du Maine enfin ennemis envoya Espagnols Etats-Généraux évêques faisait fallait Flandre flotte Fontenoi force française général Gênes gloire Gondy gouvernement guerre Hollande jamais jours l'armée l'Eglise l'empereur l'état l'Europe laisser Londres Lorraine Louis XIV Louisbourg maison maître malheurs maréchal de Belle-Isle maréchal de Maillebois maréchal de Saxe marquis ment mille hommes mille livres millions ministre mort n'avait n'était Naples nation Noailles nommé officiers paix pape parlement passer père peuple Piémontais porter pouvait premier presque prince Charles prince de Conti pris prisonniers Prusse quatre régent régiment reine de Hongrie rent reste rois royaume s'était Sardaigne secours seul siége Silésie soldats stathouder succès tête tion troupes vaisseaux victoire
Popular passages
Page 111 - Les grands hommes du siècle passé ont enseigné à penser et à parler; ils ont dit ce qu'on ne savait pas. Ceux qui leur succèdent ne peuvent guère dire que ce qu'on sait.
Page 106 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire : Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna; c'est moi qui t'en convie...
Page 253 - Nous déclarons, en conséquence, que les rois et les souverains ne sont soumis à aucune puissance ecclésiastique par l'ordre de Dieu dans les choses temporelles; qu'ils ne peuvent être déposés...
Page 108 - C'était un temps digne de l'attention des temps à venir que celui où les héros de Corneille et de Racine, les personnages de Molière, les symphonies de Lulli, toutes nouvelles pour la nation, et (puisqu'il ne s'agit ici que des arts) les voix des Bossuet et des Bourdaloue se faisaient entendre à Louis XIV, à Madame,3 si célèbre par son goût, à un Condé, à un Turenne, à un Colbert, et à cette foule d'hommes supérieurs qui parurent en tout genre.
Page 253 - Dieu dans les choses temporelles; qu'ils ne peuvent être déposés directement ni indirectement par l'autorité des chefs de l'Église; que leurs sujets ne peuvent être dispensés de la soumission et de l'obéissance qu'ils leur doivent, ou absous du serment de fidélité; et que cette doctrine, nécessaire pour la tranquillité publique, et non moins avantageuse à l'Église qu'à l'État, doit être inviolablement suivie, comme conforme à la parole de Dieu, à la tradition des saints Pères...
Page 40 - Essayez de remettre vos finances ; veillez aux Indes et à « vos flottes ; pensez au commerce ; vivez dans une grande « union avec la France ; rien n'étant si bon pour nos deux « puissances que cette union , à laquelle rien ne pourra ré
Page 251 - Qu'ainsi il faut régler l'usage de la puissance apostolique, en suivant les canons faits par l'Esprit de Dieu, et consacrés par le respect général de...
Page 102 - ... semble qu'il ait voulu traiter le roman comme M. de Meaux avait traité l'histoire, en lui donnant une dignité et des charmes inconnus, et surtout en tirant de ces fictions une morale utile au genre humain; morale entièrement négligée dans presque toutes les inventions fabuleuses.
Page 264 - ... les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 158 - ... j'ai fait les dispositions que j'ai cru les plus sages ; mais comme on ne saurait tout prévoir, s'il ya quelque chose qui ne soit pas bien, on le changera.