Saint Louis et son temps, Volume 2 |
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Alexandre IV Arthur Dinaux avaient avoit bailliages baillis barons Beaumanoir Boutaric c'était cathédrale chants Charles d'Anjou chevaliers chose chrétiens Chron Clément IV clercs clergé comte conciles Confesseur coutume croisade d'Avesnes défense devait Dieu donner douzième siècle églises évêques fabliaux Félix Faure féodalité fief fin du douzième Flandre frère garde Geoffroi de Beaulieu guerre Guill Guillaume Henri Hist Histor Ibid Innocent IV Jean Jean Bodel Joinville juge juridiction justice l'architecture l'art l'Église Labarte latin Layettes du trésor Leicester littér livre Marguerite ment Méon moyen âge n'était Nangis notice Ordonn paix pape peinture Philippe Auguste Philippe le Bel poëme poésie poëte Poitiers pouvait prévôt Primat prince raison religieux reste Roger Bacon romain roturiers royale royaume s'était saint Louis seigneur sénéchal service seulement sorte suiv texte Tillemont tion tournois treizième siècle trésor des Chartes troubadours trouve trouvères Urbain IV vassaux Viollet-le-Duc voûte XXIII zième
Popular passages
Page 112 - Et quand il voyait quelque chose à amender dans les paroles de ceux qui parlaient pour autrui, lui-même l'amendait de sa bouche. Je vis quelquefois en été que pour expédier ses gens, il...
Page 111 - ... de lui, qui avions ouï nos messes, allions ouïr les plaids de la porte qu'on appelle maintenant les requêtes. Et quand il...
Page 390 - Pendant que le roi venait en bas, deux chevaliers qui étaient de son Conseil commencèrent à parler l'un à l'autre, et l'un dit : « Ne me croyez jamais si le roi ne se croise « ici. » Et l'autre répondit : '< Si le roi se croise, ce « sera une des douloureuses journées qui jamais
Page 414 - Les moines et les prêtres chrétiens pourront demeurer dans les États de l'émir des croyants, qui leur donnera un lieu où ils pourront bâtir des monastères et des églises, et enterrer leurs morts...
Page 410 - Meismement les bones villes et les coustumes de ton royaume garde en l'estat et en la franchise où tes devanciers les ont gardées; et se il ya aucune chose à amender, si l'amende et adresce, et les tien en faveur et en amour; car par la force et par les richesces des grosses villes douteront les privez et les estranges de mesprendre vers toy, especialment tes pers et tes barons.
Page 391 - France, tout le royaume était en bonne paix au dedans et avec tous ses voisins ; et depuis qu'il partit l'état du royaume ne fit jamais qu'empirer. Ils firent un grand péché ceux qui lui conseillèrent le voyage, dans la grande faiblesse là où son corps était ; car il ne pouvait supporter d'aller en char, ni de chevaucher.
Page 369 - ... si laide. Et il est bien vrai que quand l'homme meurt il est guéri de la lèpre du corps; mais quand l'homme qui a fait le péché mortel meurt, il ne sait pas ni n'est certain qu'il ait eu tel repentir que Dieu lui ait pardonné. C'est pourquoi il doit avoir grand-peur que cette lèpre ne lui dure tant que Dieu sera en paradis.
Page 30 - Et il abolit toutes les mauvaises impositions dont le peuple pouvait être grevé et fit enquérir par tout le royaume et par tout le pays où il pourrait trouver un homme qui fît bonne et roide justice et qui (n'épargnât pas plus l'homme riche que le pauvre.
Page 275 - Dans le peu d'hôpitaux du moyen âge qui nous sont restés, nous trouvons un esprit de charité bien entendu et délicat. Ces bâtiments sont d'un aspect monumental sans être riches; les malades ont de l'espace, de l'air et de la lumière; ils sont souvent séparés les uns des autres...
Page 368 - ... main. Or je vous demande, fit-il, ce que vous aimeriez mieux ou d'être lépreux ou d'avoir fait un péché mortel? » Et moi, qui jamais ne lui mentis, je lui répondis que j'aimerais mieux en avoir fait trente que d'être lépreux.