Recueil des lettres de madame la marquise de Sévigné: a madame la comtesse de Grignan, sa fille, Volume 10 |
From inside the book
Results 1-5 of 62
Page 19
... Dieu lui inspire ; et soit lumiere , soit abandonnement , il faut qu'il arrive quelque changement en lui pour déranger ses opinions . M. de Vardes . lui a fait la même question que vous me faites sur son jubilé : il y a fort honnête ...
... Dieu lui inspire ; et soit lumiere , soit abandonnement , il faut qu'il arrive quelque changement en lui pour déranger ses opinions . M. de Vardes . lui a fait la même question que vous me faites sur son jubilé : il y a fort honnête ...
Page 23
... avec les trois autres , et ne reviendra qu'en ce temps , et Dieu veuille qu'il y demeure ce jour - là . Voilà qui est bien triste , Monsieur + de vous reprendre une si jolie nouvelle . mais je de Madame de Sévigné . 23.
... avec les trois autres , et ne reviendra qu'en ce temps , et Dieu veuille qu'il y demeure ce jour - là . Voilà qui est bien triste , Monsieur + de vous reprendre une si jolie nouvelle . mais je de Madame de Sévigné . 23.
Page 25
... Dieu lui a donné ne fit pas mal son effet dans cette occasion . Après cette premiere vue , le Roi fit appeller M. le Dauphin , et le pré- senta comme un jeune Courtisan ; M. de Vardes le reconnut , et le salua : le Roi lui ( 1 ) C'étoit ...
... Dieu lui a donné ne fit pas mal son effet dans cette occasion . Après cette premiere vue , le Roi fit appeller M. le Dauphin , et le pré- senta comme un jeune Courtisan ; M. de Vardes le reconnut , et le salua : le Roi lui ( 1 ) C'étoit ...
Page 36
... Dieu ! que tout est fragile en cette vie ! et que nous entendons mal nos intérêts de nous y attacher si fortement ! J'ai envoyé votre lettre à notre ami : nous ne savions , ce que vous étiez devenu ; mais Dieu mer- ci vous étiez occupé ...
... Dieu ! que tout est fragile en cette vie ! et que nous entendons mal nos intérêts de nous y attacher si fortement ! J'ai envoyé votre lettre à notre ami : nous ne savions , ce que vous étiez devenu ; mais Dieu mer- ci vous étiez occupé ...
Page 40
... ami en vogue . Bussy bon- dit dans les nues , sa fille est forcenée dans son lit. Dieu l'a ainsi réglé de toute éternité . Amen . La Marquise de Sévigné . LETTRE TAI LETTRE X I. À Grignan , lé 5 ' 40 Nouvelles Lettres.
... ami en vogue . Bussy bon- dit dans les nues , sa fille est forcenée dans son lit. Dieu l'a ainsi réglé de toute éternité . Amen . La Marquise de Sévigné . LETTRE TAI LETTRE X I. À Grignan , lé 5 ' 40 Nouvelles Lettres.
Other editions - View all
Common terms and phrases
Adieu admirable affaire aimable aime amitié Ancenis assure auroit avez avois avoit beau belle Belombre Boismortier bonté c'étoit Calvisson Chancelier cher Chevalier Chevalier de Lorraine chose Cicéron cœur compliments connoissez crois d'Artagnan d'Ormesson dame déja derniere desire Dieu dire disoit donner écou enfin entrer l'accusé êtes étoit Evêque fille Fouquet grace homme j'ai j'en joie jolie jours l'Abbé l'avoit l'honneur Lettres de Madame Livry lundi m'en Madame de Grignan Madame de Sévigné Madame votre sœur Mademoiselle Majastres mandé maniere Marquise de Sévigné Marseille matin ment mérite mille monde Monsieur CORBINELLI mort n'ai n'en parler paroît passer pauvre pense pere petit brin Pignerol plaisir Pouponne pouvoit premiere présent Prince de Conti procès Pussort raison reconnoissance remercie rien roit s'il vous plaît sais savez sentiments sera seroit sieur sincere soir souhaite tendrement très-humble trouvé Vardes vérité veux voilà vois voudrois vouloit
Popular passages
Page 267 - Ah ! Sire , quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende , je l'ai lu brusquement. Non , M. le maréchal , les premiers sentiments sont toujours les plus naturels. Le roi a fort ri de cette folie, et tout le monde trouve que voilà la plus cruelle petite chose que l'on puisse faire à un vieux courtisan. Pour moi, qui aime toujours à faire des réflexions, je voudrais que le roi en fît là-dessus, et qu'il jugeât par-là combien il est loin de connaître jamais la vérité.
Page 266 - M. le maréchal, lisez , je vous prie , ce petit madrigal , et voyez si vous en avez jamais vu un si impertinent : parce qu'on sait que depuis peu j'aime les vers, on m'en apporte de toutes les façons.
Page 47 - C'est par ces sortes d'endroits, tout pleins de zèle et d'éloquence, qu'il enlève et qu'il transporte : il m'a souvent ôté la respiration, par l'extrême attention avec laquelle on est pendu à la force et à la justesse de ses discours...
Page 267 - Le maréchal, après avoir lu, dit au Roi : ' Sire, Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 254 - Enfin Dieu soit loué ! Dieu a touché le cœur de cette pauvre enfant : elle s'est mise dans le chemin de l'obéissance et du salut.
Page 288 - Tout le monde s'intéresse dans cette grande affaire. On ne parle d'autre chose; on raisonne, on tire des conséquences, on compte sur ses doigts, on s'attendrit, on craint, on souhaite, on hait, on admire, on est triste, on est accablé; enfin, mon pauvre Monsieur, c'est une...
Page 262 - ... dans cette petite porte. Si vous saviez combien on est malheureux quand on a le cœur fait comme je l'ai , je suis assurée que vous auriez pitié de moi ; mais je pense que vous n'en êtes pas quitte à meilleur marché, de la manière dont je vous connais.
Page 266 - Saint-Aignan et Dangeau lui apprennent comment il faut s'y prendre. Il fit l'autre jour un petit madrigal , que lui-même ne trouva pas trop joli. Un matin il dit au maréchal de Gramont : M.
Page ix - Rien n'est égal à la vivacité de ses tournures et au bonheur de ses expressions. Elle est toujours affectée de ce qu'elle dit et de -ce qu'elle raconte; elle peint comme si elle voyait, et l'on croit voir ce qu'elle peint.
Page 53 - ... avec un courage héroïque ; je me prépare à toutes les conséquences avec paix et tranquillité ; et voyant qu'il faut se résoudre et que je ne suis pas la plus forte, je m'occupe de l'obligation que j'ai à Dieu de me conduire si doucement à la mort. Je le remercie de l'envie qu'il me donne de m'y préparer tous les jours, et même de ne pas souhaiter de tirer jusqu'à la lie. L'excès de la vieillesse est affreux et humiliant ; nous en voyons tous les jours un exemple qui nous afflige,...