| Jean-Jacques Rousseau - 1798 - 424 pages
...Apparemment je n'avais pas encore alors la pliytionomje qu'on m'a donnée depuis dans mes portraits* avait de plaisant était que je ne pouvais imaginer de quoi il avait peur. Enfin il prononca en frémissant ces mots terribles de commis et de ratsde-cave. Il me fit entendre qu'il cachait... | |
| 1789 - 440 pages
...point de mou argent; il le «pouffait avec un trouble extraordinaire; & ce qu'il y avait de plaifant était que je ne pouvais imaginer de quoi il avait peur. Enfin il prononça en frenaiffant ces mots terribles de commis & de rats-dé- cnvc. 11 me fit entendre, qu'il cachait fon... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 454 pages
...extraordinaire ; et ce qu'il y avoit de plaisant étoit que je ne pouvois imaginer de quoi il avoit peur. Enfin il prononça en frémissant ces mots terribles de commis et de rats-de-cave. Il me fit entendre qu'il cachoit son vin à cause des aides, qu'il cachoit son pain à... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 458 pages
...extraordinaire ; et ce qu'il y avoit de plaisant étoit que je ne pouvois imaginer de quoi il avoit peur. Enfin il prononça en frémissant ces mots terribles de commis et de rats-de-cave. Il me fit entendre qu'il cachoit son vin à cause des aides , qu'il cachoit son pain... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 494 pages
...inquiétude et ses craintes qui le reprennent; il ne voulait point de mon argent, il le repoussait avec un trouble extraordinaire ; et ce qu'il y avait...en frémissant ces mots terribles de commis et de rats-de-cave. Il me fit entendre qu'il cachait son vin à cause des aides , qu'il cachait son pain... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 482 pages
...inquiétude et ses craintes qui le reprennent; il ne voulait point de mon argent, il le repoussait avec un trouble extraordinaire ; et ce qu'il y avait...imaginer de quoi il avait peur. Enfin, il prononça eu frémissant ces mots terribles de commis et de rats-de-cave. Il me fit entendre qu'il cachait son... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1824 - 508 pages
...extraordinaire; et ce qu'il y avoit de plaisant étoit que je ne pouvois imaginer de quoi il avoit peur. Enfin, il prononça en frémissant ces mots terribles de commis et de rats-decave. Il me fit entendre qu'il cachoit son vin à cause des aides, qu'il cachoit son pain à... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...inquiétude et ses craintes qui le reprennent; il ne voulait point de mon argent, il le repoussait avec un trouble extraordinaire; et ce qu'il y avait...que je ne pouvais imaginer de quoi il avait peur. Eufiu , U prononça en frémissant ces mots terribles de (i J Apparemment je n'avais p;is encore alon... | |
| 1907 - 990 pages
...peur? « II prononça en frémissant les mots terribles de « commis » et de « rats de cave. » II me fit entendre qu'il cachait son vin à cause des aides, qu'il cachait son pain à cause de la taille et qu'il serait un homme perdu si l'on pouvait se douter qu'il... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 412 pages
...extraordinaire; et ce qu'il y avoit de plaisant étoit que je ne pouvois imaginer de quoi il avoit peur. Enfin, il prononça en frémissant ces mots terribles de commis et de rats-de-cave. Il me fit entendre qu'il cachoit son vin à cause jdes aides, qu'il cachoit son pain... | |
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