| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...propres mots du mari : Eh bien enfin voyant, faut-il let tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!....... | |
| 1828 - 688 pages
...mots du mari : Eh bien enfin voyons , faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. . Que vous dirai-je? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'élnis mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!....... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...mots du mari : Eh bien enfin voyons , faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 430 pages
...mots du mari : Eh bien l enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!....... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 454 pages
...mots du mari : Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!....... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...mari : " Eh bien ! enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ?" à quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel! quand j'y pense encore!.... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...mots du mari : Eh bien! enfin voyons, faut-ii les tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui; et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 474 pages
...n'entendis plus rien. Que vous dirai -je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais...encore! ... Nous deux, presque sans armes, contre eux dou/.e ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...« Eh bien ! enfin , voyons, faut-il les tuer tous deux ? » A quoi la femme répondit : « Oui , » et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je...restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu ! quand j'y pense encore... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 322 pages
...mari : Eh bien ! Enfin voyons , » faut-il les tuer tous deux? A quoi la femme » répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. » Que vous dirai-je ? Je restai respirant à » peine, lout mon corps froid comme un mar» bre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais B mort ou vivant.... | |
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