Louis XIV. et son siècle, Volume 2Dufour, Mulat et Boulanger, 1856 |
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allait Altesse amour Anne d'Autriche apprit arriva avaient Bastille Beaufort Beautru Brienne bruit c'était cardinal de Retz carosse cheval chose Colbert conseil cour courtisans d'Aubigné d'Espagne Dauphin déclara demanda devait Dieu dire disant dit-il donner duc d'Orléans duc de Longueville duc du Maine duchesse de Bourgogne enfin ennemis envoya épousé eût Fagon faisait femme fille fils Fouquet frère fût gardes gentilhomme guerre heures homme instant jeune jour l'avait laissa Lauzun lendemain Longueville Louis XIV Louvois Madame Mademoiselle main maison Majesté malade Mancini maréchal mari mariage Meilleraie ment mille ministre Mlle Mme de Maintenon Mme de Montespan monde Monseigneur Monsieur mort mourir n'avait n'était Nemours parler passer père La Chaise personne porte pouvait premier prince de Condé princesse prisonnier prit Puyguilhem quitter reçut reine reine-mère Renau répondit reste revint rien royale s'était Savoie Scarron serait seulement Sire sœur soir sorte troupes trouva Turenne Vallière venait Vendôme Versailles vint voulait voulut
Popular passages
Page 466 - Ce prince, héritier nécessaire, puis présomptif, de la couronne, naquit terrible, et sa première jeunesse fit trembler. Dur et colère jusqu'aux derniers emportements, et jusque contre les choses inanimées; impétueux avec fureur, incapable de...
Page 268 - Pour toute ambition, pour vertu singulière, II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théâtre, A réciter des chants qu'il veut qu'on idolâtre ; Tandis que des soldats, de moments en moments, Vont arracher pour lui les applaudissements.
Page 481 - Les mauvais temps en sont cause. Je vous demande pour mon petit-fils la même application et la même fidélité que vous avez eues pour moi.
Page 374 - Roi d'un air et d'un ton plus que dégagé, faites mes compliments et mes remerciements au roi et à la reine d'Angleterre, et dites-leur de ma part que mes affaires et les leurs n'en iront pas moins bien.
Page 106 - Brissac, qui marchait devant moi, me dit qu'il fallait galoper d'abord pour ne pas donner le temps aux gardes du Maréchal de fermer la porte d'une petite rue du faubourg où était leur quartier, et par laquelle il fallait nécessairement passer.
Page 388 - Les boutiques des marchands se vidèrent en très peu de jours ; en un mot, le luxe le plus effréné domina la cour et la ville, car la fête eut une grande foule de spectateurs. Les choses allèrent à un point que le roi se repentit d'y avoir donné lieu, et dit qu'il ne comprenait pas comment il y avait des maris assez fous pour se laisser ruiner par les habits de leurs femmes ; il...
Page 128 - Ce roi si grand, si fortuné, Plus sage que César, plus vaillant qu'Alexandre, On dit que Dieu nous l'a donné, Hélas 1 s'il vouloit le reprendre.
Page 478 - ... le Roi, en confirmant son édit, rendit l'état des princes légitimés égal en tout à celui des princes du sang. Quelque opinion qu'il eût de sa puissance, il sentit si bien à quel degré...
Page 198 - Je dirai que l'amour sied bien à vos pareils ; Que ce tribut qu'on rend aux traits d'un beau visage, De la beauté d'une âme est un clair témoignage , Et qu'il est malaisé que , sans être amoureux , Un jeune prince soit et grand et généreux.
Page 481 - Mon enfant, vous allez être un grand roi ; ne m'imitez pas dans le goût que j'ai eu pour les bâtiments, ni dans celui que j'ai eu pour la guerre ; tâchez, au contraire, d'avoir la çaix avec vos voisins.