Chronique Médicale, Volume 9Rédaction & administration., 1902 - Literature and medicine |
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Popular passages
Page 62 - Le front de l'empereur brisait le masque étroit. Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ; Si débile qu'il fut, ainsi qu'une chimère, Abandonné de tous, excepté de sa mère, Et que son cou ployé comme un frêle roseau Fit faire en même temps sa bière et son berceau. Cet enfant que la vie effaçait de son livre, Et qui n'avait pas même un lendemain...
Page 534 - II faut être toujours ivre. Tout est là: c'est l'unique question. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve. Mais de quoi? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
Page 528 - Moi, je dis: la volupté unique et suprême de l'amour gît dans la certitude de faire le mal. Et l'homme et la femme savent, de naissance, que dans le mal se trouve toute volupté.
Page 446 - L'observateur chez lui donne les faits tels qu'il les a observés, pose le point de départ, établit le terrain solide sur lequel vont marcher les personnages et se développer les phénomènes. Puis, l'expérimentateur paraît et institue l'expérience, je veux dire fait mouvoir les personnages dans une histoire particulière, pour y montrer que la succession des faits y sera telle que l'exige le déterminisme des phénomènes mis à l'étude. C'est presque toujours ici une expérience «pour voir...
Page 528 - Je crois que j'ai déjà écrit dans mes notes que l'amour ressemblait fort à une torture ou à une opération chirurgicale. Mais cette idée peut être développée de la manière la plus amère. Quand même les deux amants seraient très épris et très pleins de désirs réciproques, l'un des deux sera toujours plus calme ou moms possédé que l'autre.
Page 563 - Les différences entre un soldat, un ouvrier, un administrateur, un avocat, un oisif, un savant, un homme d'Etat, un commerçant, un marin, un poète, un pauvre, un prêtre, sont, quoique plus difficiles à saisir, aussi considérables que celles qui distinguent le loup, le lion, l'âne, le corbeau, le requin, le veau marin, la brebis, etc. Il a donc existé, il existera donc de tout temps des espèces sociales comme il ya des espèces zoologiques.
Page 571 - Il n'ya qu'un animal. Le créateur ne s'est servi que d'un seul et même patron pour tous les êtres organisés. L'animal est un principe qui prend sa forme extérieure, ou, pour parler plus exactement, les différences de sa forme, dans les milieux où il est appelé à se développer.
Page 300 - La lampe brûlait jaune, et jaune aussi les cierges; Et la lueur glissant aux fronts voilés des vierges Jaunissait leur blancheur; Et le prêtre vêtu de son étole blanche Courbait un front jauni, comme un épi qui penche Sous la faux du faucheur. Oh! qui dans une église, à genoux sur la pierre, N'a bien souvent le soir déposé sa prière, Comme un grain pur de sel...
Page 405 - S'adresser à M. l'abbé V.-A. HUARD, Chicoutimi, PQ 8-1898 ECHOS w; BIBLIOGRAPHIE. Pouvoir recueillir dans les Journaux du monde entier tout ce qui paraît sur on sujet quelconque, sur une question dont on aime à s'occuper ;— surtout savoir ce que l'on dit de vous et de vos œuvres dans la presse, qui ne le souhaite parmi les hommes politiques, les écrivains, les artistes ? Le COURRIER de la PRESSE, fondé en 1880, par M.
Page 563 - Il a donc existé, il existera donc de tout temps des Espèces Sociales comme il ya des Espèces Zoologiques. Si Buffon a fait un magnifique ouvrage en essayant de représenter dans un livre l'ensemble de la zoologie, n'y avait-il pas une œuvre de ce genre à faire pour la Société?