Philosophie du droit ecclésiastiqueGermer Baillière, 1864 - 192 pages |
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absolue actes Affaires de Rome âmes autorité Benjamin Constant besoin c'est-à-dire catholique CHARLES DE RÉMUSAT Charles VII choses chrétienne christianisme clergé concile concile de Bâle concordat conséquent considérer constitution croyances déclaration décrets despotisme devoirs Dieu dignité discipline divine Divine comédie doctrines dogmes ecclésiastique édit Eglises ÉLIPHAS LÉVI elle-même ÉMILE SAISSET envers évêques fond force forme FRANCK François Ier gallicane gieuse gion gouvernement Grégoire VII hommes humaine imposer indépendance institutions juridiction justice l'âme l'autre l'avenir l'esprit l'Etat l'homme l'ordre moral l'ordre social Lamennais légitime liberté de conscience liberté reli liberté religieuse libre lois Louis XIV médecine ment ministres mœurs moyen nation national nature nécessaire non-seulement obligé pape pensée philosophie politique polythéisme pouvoir civil pouvoir spirituel prêtres principe protestants publique puissance raison rapports réforme religion religions sacerdotales révolution sacerdoce saint Louis sécurité sentiment religieux sera servitude seule société civile société religieuse souverain pontife système théocratie tion tique XVIIIe siècle
Popular passages
Page 27 - Nulle association de plus de vingt personnes, dont le but sera de se réunir tous les jours ou à certains jours marqué», pour s'occuper d'objets religieux, littéraires, politiques ou autres, ne pourra se former qu'avec l'agrément du gouvernement, et sous les conditions qu'il plaira à l'autorité publique d'imposer à la société.
Page 108 - Nul ne peut être responsable de ce qu'il a écrit ou publié, que dans les cas prévus par la loi. 354. Nul ne peut être empêché d'exercer, en se conformant aux lois, le culte qu'il a choisi. — Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d'un culte. La République n'en salarie aucun.
Page 96 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 155 - Le Saint-Père désapprouve aussi et réprouve même les doctrines relatives à la liberté civile et politique, lesquelles, contre vos intentions sans doute, tendent de leur nature à exciter et propager partout l'esprit de sédition et de révolte de la part des sujets contre leurs souverains.
Page 96 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement ; sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 155 - L'Avenir sur la liberté des cultes et la liberté de la presse, qui ont été traitées avec tant d'exagération et poussées si loin par MM. les Rédacteurs, sont également très répréhensibles, et en opposition avec l'enseignement, les maximes et la pratique de l'Église.
Page 103 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 114 - Or, c'est une autre vérité consacrée par l'expérience que toutes les fois qu'il existe dans un État une religion qui est celle du plus grand nombre, il faut, ou que le gouvernement contracte avec elle une alliance fondée sur l'intérêt d'un appui réciproque, ou qu'il la détruise, ou qu'il coure le risque d'être détruit par elle.