Louis XIV: sa cour, et le régent, Volume 1Moutard, 1789 - France |
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... affez longs des Mémoires de Saint - Simon , que les Rédacteurs ne nom- ment pas . Nous ne sommes pas fâchés qu'il y ait déja quelques parties de ces Mémoires imprimées , afin qu'on puiffe apprécier notre travail fur cet Auteur . Choify ...
... affez longs des Mémoires de Saint - Simon , que les Rédacteurs ne nom- ment pas . Nous ne sommes pas fâchés qu'il y ait déja quelques parties de ces Mémoires imprimées , afin qu'on puiffe apprécier notre travail fur cet Auteur . Choify ...
Page xlii
... des revenus de cette Couronne , traduits de l'Anglois . Villefranche , chez Paul Pinceau , 1703 , vol . in - 12 de 56 pages . Il contient quarante - huit portraits affez bien faits . M. de Paulmy estimoit ce livre qu'il xlij Obfervations .
... des revenus de cette Couronne , traduits de l'Anglois . Villefranche , chez Paul Pinceau , 1703 , vol . in - 12 de 56 pages . Il contient quarante - huit portraits affez bien faits . M. de Paulmy estimoit ce livre qu'il xlij Obfervations .
Page 4
... affez de belles qualités pour être , généralement regrettée , quand elle fut enlevée par une mort prématurée . La feconde , agaçante , pressée de plaire , espéra quelque temps d'inf- pirer au jeune Roi une passion qu'elle feignoit de ...
... affez de belles qualités pour être , généralement regrettée , quand elle fut enlevée par une mort prématurée . La feconde , agaçante , pressée de plaire , espéra quelque temps d'inf- pirer au jeune Roi une passion qu'elle feignoit de ...
Page 19
... affez paffionnée , & affez hardie pour se montrer jalouse , ob- tint du Roi qu'il paroîtroit plus froid auprès de la Princesse . Marie triom- phoit de sa victoire , & peut - être portoit - elle intérieurement ses préten tions jusqu'à la ...
... affez paffionnée , & affez hardie pour se montrer jalouse , ob- tint du Roi qu'il paroîtroit plus froid auprès de la Princesse . Marie triom- phoit de sa victoire , & peut - être portoit - elle intérieurement ses préten tions jusqu'à la ...
Page 35
... affez con- tenie du mari qu'elle a choisi . Ce qu'il y eut de vraiment magnifique , fut la maison du Cardinal , nombreuse , riche , effaçant par son éclat celle de Monfieur ; enfin une pompe Royale que le Comte d'Estrées , ne pouvant l ...
... affez con- tenie du mari qu'elle a choisi . Ce qu'il y eut de vraiment magnifique , fut la maison du Cardinal , nombreuse , riche , effaçant par son éclat celle de Monfieur ; enfin une pompe Royale que le Comte d'Estrées , ne pouvant l ...
Common terms and phrases
affez ainſi ainſi dire alloit aſſez auffi auroit auſſi avoient avoit Baſtille beſoin c'eſt c'étoit Cardinal cauſe Cavois ceſſe Charoſt Choisy choſes Comte Comteſſe Conſeil Cour Courtiſans Dame déja deſſein diſoit donnoit Ducheſſe enſuite eſpece eſprit eſt étoient étoit faiſoit fans felle femme feroit foit Fouquet grace homme jeuneſſe juſqu'à juſqu'au l'Abbé l'eſprit l'Evêque l'Hiſtoire laiſſa laiſſer Lauzun Louis XIV Louvois Madame de Maintenon Madame de Monteſpan Madame de Motteville Madame de Sévigné Mademoi Mademoiselle Maiſon maniere Maréchal mariage Marie Mancini Mazarin Mémoires ment Miniſtres Monarque Monfieur montroit Mottevil n'avoit n'eſt naiſſance Navailles néceſſaire paroiſſoit paſſa paſſer Peliſſon perſonne plaiſirs pluſieurs poſte pouvoit premiere préſence preſque Prince Princeſſe Reine Reine-Mere reſpect reſte ſa fille Saint-Si Saint-Simon ſans Scaron ſe trouva ſervice ſes ſeul Soiſſons ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſtyle ſujet ſur Sur-Intendant tion trouvoit Valliere venoit vouloit دو دو دو وو
Popular passages
Page 147 - Hé bien! il faut donc vous la dire: M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 140 - ... préférences. Elle est jeune, folle, hardie, débauchée et plaisante; elle chante, elle danse, et fait son métier de bonne foi; elle a un fils, elle veut qu'il soit reconnu. Voici son raisonnement : « Cette demoiselle, dit-elle, fait la personne de qualité ; elle dit que tout est son parent en France.
Page 229 - ... fa gouvernante , qui avoit mis un tel prix à cette faveur, qu'on pleuroit fort quand on en• étoit privée. Tous les matins, .un loup fur le vifage pour conferver le plus beau teint du monde, un chapeau de paille fur la tête, un panier dans la main, une gaule dans l'autre, Françoife alloit garder les dindons , avec ordre de ne toucher au panier où étoit le déjeûné, qu'après avoir appris cinq quatrains de Pibrac.
Page xxxvi - ... que rien dans le monde ne m'appartenoit. Mon ame, n'ayant pas pris d'abord le pli que lui devoit donner la...
Page 175 - Josephe qu'il avoit quatre-vingts ans, que c'étoit un péché; enfin on rioit, on avoit de l'esprit. Le roi ajouta qu'il ne falloit pas croire qu'il le laissât en repos dans son désert, qu'il l'enverrait quérir, qu'il vouloit le voir comme un homme illustre par toutes sortes de raisons.
Page xxxii - Mémoires, de la Cour de France pour les années 1688 & 1689, par Madame la Comteffe de la FAYETTE.
Page xxiv - Londres, 1770. m-ia. br. 4821 Mémoires politiques & militaires , pour fervir à l'hiftoire de Louis XIV & de Louis XV; par M. l'abbé Millot.
Page 226 - ... préfentoit fon fein tantôt à fon mari , tantôt à fa fille, fans efpoir de fauver ni l'un ni l'autre. La mifere & la faim lui avoient fait perdre fon . lait , & elle n'avoit pu - payer une nourrice. Madame de Villette fut attendrie. La vue de la petite .Françoife la toucha. Elle emmena ces trois enfants au Château de Murçay , & la fille eut la même nourrice que 'la petite Villette , qui fut depuis Madame de St.
Page 219 - ... Montausier, qui étoit en réputation d'homme d'honneur (0, me donna quasi en même temps, mais sur un autre sujet, une pareille peine ; car en parlant du chagrin que la Reine mère avoit eu contre la comtesse de Brancas, il me dit ces mêmes mots : « Ah ! vraiment « la Reine mère est bien plaisante d'avoir trouvé mau...
Page 148 - Si vous criez, fi vous êtes hors de vous-même , fi vous dites que nous avons menti, que cela eft faux , qu'on fe moque de vous , que voilà une belle raillerie , que cela eft bien fade à imaginer ; fi enfin vous nous dites des injures , nous trouverons que vous avez raifon ; nous en avons fait autant que vous. Adieu , les lettres qui feront portées par cet ordinaire vous feront voir fi nous difons vrai ou non. LETTRE XI. AU MÊME. A Paris , vendredi ip décembre 16fO'.