DE ANDRÉ CHÉNIER PRÉCÉDÉES D'UNE NOTICE PAR M. H. DE LATOUCHE, SUIVIES DE NOTES ET JUGEMENTS extraits des ouvrages de MM. DE CHATEAUBRIAND, LE BRUN, JULES LEFÈVRE, VILLEMAIN, CHARPENTIER, LIBRAIRE-ÉDITEUR, 1847. + AVANT-PROPOS DE L'ÉDITEUR. Pages IX XI XXXI NOTICE SUR LA VIE ET LES OUVRAGES D'ANDRÉ CHÉNIER. SUR LES SUISSES RÉVOLTÉS DU RÉGIMENT DE CHATEAUVIEUX. XLVII XIII. SUR UN GROUPE DE JUPITER ET D'EUROPE. 49 XX. ÉPILOGUE. - Voilà ce que chantait aux Naïades prochaines. 33 FRAGMENTS D'IDYLLES. 1. QEta, mont ennobli par cette nuit ardente. 34 54 57 2. J'étais un faible enfant qu'elle était grande et belle. 37 58 4. Là reposait l'Amour, et sur sa joue en fleur. 38 3. J'apprends, pour disputer un prix si glorieux. 59 59 60 8. Ah! prends un cœur humain, laboureur tropavide. 10. Fille du vieux pasteur, qui d'une main agile.. 61 61 62 11. Nouveau cultivateur, orné d'un aiguillon. Pages 62 63 63 Comme aux bords d'Eurotas. 14. Toi! de Mopsus ami! Non loin de Bérécynthe. 18. Virginité chérie, o compagne innocente. (Imité de Sapho.) . 11. Imité d'une Idylle de Bion. III. O lignes que sa main, que son cœur a tracées. IV. Ah! je les reconnais et mon cœur se réveille.. XV. Souvent le malheureux songe à quitter la vie. XVI. O jours de mon printemps, jours couronnés de rose. XX. L'art des transports de l'âme est un faible interprète. XXI. Reste, reste avec nous, o père des bons vins. XXII. O nuit, nuit douloureuse! ô toi, tardive aurore. XXIII. Il n'est que d'être roi pour être heureux au monde. XXIV. Reine de mes banquets, que Lycoris y vienne. XXV. S'ils n'ont point de bonheur, en est-il sur la terre. |