| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pages
...lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce l'ut ma faute; devais-je me fier à une tète de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour,...perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes prés d'une maison fort noire ; nous y entrâmes. nou sans soupçon, mais comment faire ? Là nous... | |
| 1828 - 686 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant , un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute...cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces hois ; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes... | |
| French periodicals - 1828 - 688 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant , un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute...ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemina travers ces bois ; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire... | |
| Paul-Louis Courier - French literature - 1830 - 478 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine; mon camarade allant devant, un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute;...tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois ; niais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1834 - 430 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine; mon camarade allant devant, un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute;...plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était1 nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant, un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute: devais-je me fier à une tète de vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus... | |
| Paul-Louis Courier, Armand Carrel - France - 1845 - 482 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant , un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute;...quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. >'ous y entrâmes, non sans soupcon, mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 322 pages
...mar» chaient avec beaucoup de peine ; mon cama» rade allant devant , un sentier qui lui parut « plus praticable et plus court nous égara. Ce » fut ma...bois; mais » plus nous cherchions, plus nous nous per» dions, et il était nuit noire, quand nous ar» rivâmes près d'une maison fort noire. Nous... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine ; mon camarade allant devant, un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute...entrâmes, non sans soupçon, mais comment faire ? Là nous trouvions toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita ; mon jeune... | |
| Saucié - 1850 - 272 pages
...chevaux marchaient avec beaucoup de peine;-mon camarade allant devant, un sentier qui lui parut plus praticable et plus court nous égara. Ce fut ma faute;...vingt ans? Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, noire chemin à travers ces bois ; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était... | |
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