Les poètes françois, depius le xiie siècle jusqu'à Malherbe [ed. by P.R. Auguis]., Issue 50, Volume 51824 |
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Adieu aimer ains amour Atys Augier Gaillard avoit beau beauté belle BONIFACE ceste CHANSON chanter Charles Ix chose ciel cieux cœur connoissance CONSTANTE cruel Cyrné dame desirs Desportes Dieu dieux douleur doux enfans ÉPIGRAMME ÉPITAPHE esprit estre ÉTIENNE TABOUROT étoit faict fault femme fleur Florent Chrestien fortune François gentil gloire grace Hélas Henri Henri III Henri IV heureux homme j'ai j'ay JACQUES DE BILLY jamais Jean Jean Bertaut JEPHTÉ jour l'ame l'amour l'autre laissé Livres loix louange LOYS lumiere main maison malheur MARIE mesme mieux mille misérable monde monsieur mort mourir mourut Muses NICOLAS PAVILLON nuit passe pauvre pense pere peuple PHILIPPE DESPORTES Phoebus plainte plaisir pleurs poëme poésie poète prince PROTENOTAIRE qu'un QUATRAIN ravi RICHARD rien rois Ronsard sage sçavoir Scévole de Sainte-Marthe Seigneur seulement SONNET soudain STANCES SULPICE tems terre tombeau tousjours TRESORIER veut veux voit Voyla yeux
Popular passages
Page 431 - Éclate par soi-même, et moi par ma grandeur. Si du côté des dieux, je cherche l'avantage, Ronsard est leur mignon, et je suis leur image. Ta lyre, qui ravit par de si doux accords...
Page 431 - Si du coté des dieux je cherche l'avantage, Ronsard est leur mignon, et je suis leur image. Ta lyre, qui ravit par de si doux accords, Te soumet les esprits dont je n'ai que les corps...
Page 509 - Et vous humbles coteaux où les pampres foisonnent; Et vous ombreux vallons, de sources arrosés. Féconds arbres fruitiers, l'ornement des collines, Cèdres qu'on peut nommer géants d'entre les bois, Sapins dont le sommet fuit loin de ses racines, Chantez-le sur les vents qui vous servent de voix.
Page 308 - Puissé-je, ô Tout-Puissant, inconnu des grands rois, Mes solitaires ans achever par les bois ! Mon étang soit ma mer, mon bosquet mon Ardenne, La Gimone mon Nil, le...
Page 518 - pour être votre femme, et de trop bonne maison « pour être votre maîtresse ; » et la célèbre Anne de Rohan, qui, comme sa mère, cultiva la poésie avec succès.
Page 403 - Les villes du milieu sont les villes frontières; Le village se garde, et nos propres maisons Nous sont le plus souvent garnisons et prisons. L'honorable bourgeois, l'exemple de sa ville, Souffre devant ses yeux violer femme et fille, Et tomber sans merci dans l'insolente main Qui s'étendait naguère à mendier son pain.
Page 406 - N'aurons-nous entre nous que visages terreux, Murmurant ta louange aux secrets de nos creux? » En ces lieux caverneux tes chères assemblées, Des ombres de la mort incessamment troublées, Ne feront-elles plus résonner tes saints lieux, Et ton renom voler des terres dans les cieux? » Quoi! serons-nous muets, serons-nous sans oreilles, Sans mouvoir, sans chanter, sans ouïr tes merveilles? As-tu éteint en nous ton sanctuaire?
Page 356 - BIEN heureux qui peut passer sa vie Entre les siens, franc de haine et d'envie, Parmy les champs, les forests et les bois, Loin du tumulte et du bruit populaire; Et qui ne vend sa liberté pour plaire Aux passions des princes et des rois...
Page 405 - Les premiers des chrétiens prioient aux cimetières : Nous avons fait ouïr aux tombeaux nos prières, Fait sonner aux tombeaux le nom de Dieu le fort, Et annoncé la vie aux logis de la mort. « Tu peux faire conter ta louange à la pierre ; Mais n'as-tu pas toujours ton marchepied en terre ? Ne veux-tu plus avoir d'autres...
Page 404 - Le feu de la pitié, de la faim la fureur, Convoite dans son sein la créature aimée Et...