 | French periodicals - 1829 - 640 pages
...déjà tant crié. » « Je levai les yeux, et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée, et restait...l'œil gauche attaché sur nous, le droit caché par le fusil élevé. Dans une embrasure, à quelques pieds de nous, un homme tenant un boutefeu, était... | |
 | Prosper Mérimée - French poetry - 1845 - 476 pages
...déjà tant crié. » Je levai les yeux , et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée, et restait...derrière leur parapet à demi détruit les grenadiers n russes, l'arme haute, immobiles comme des statues. Je crois voir encore chaque soldat , l'œil gauche... | |
 | Languages, Modern - 1871 - 502 pages
...l'entrée de ma chambre. Maistre S. 619 a. — Au reste je n'avais pas peur. Mérimée S. 631a. — Au travers d'une vapeur bleuâtre, on apercevait derrière...leur parapet à demi détruit les grenadiers russes . . . Ders. 631 b. — De ea main gauche, il tenait encore un pistolet déchargé . . . Ders. 634 a.... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet - 1849 - 680 pages
...avaient déjà tant crié. Je levai les yeux, et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée et restait...l'œil gauche attaché sur nous, le droit caché par le fusil élevé. Dans une embrasure à quelques pieds de nous, un homme tenant un boute-feu était... | |
 | Jean Roemer - French language - 1851 - 490 pages
...avaient déjà tant crié. Je levai les yeux, et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée et restait...l'œil gauche attaché sur nous, le droit caché par le fusil élevé. Dans une embrasure à quelques pieds de nous, un homme tenant un boute-feu était... | |
 | Alexandre Rodolphe Vinet, Louis F Chaumont - 1852 - 338 pages
...avaient déjà tant crié. Je levai les yeux, et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée, et restait...comme des statues. Je crois voir encore chaque soldat, l'oeil gauche attaché sur nous, le droit caché par le fusil élevé. Dans une embrasure à quelques... | |
 | Prosper Mérimée - 1852 - 468 pages
...déjà tant crié. « Je levai les yeux, et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée et restait...pieds au-dessus de la redoute. Au travers d'une vapeur hleuâ^ tre on apercevait derrière leur parapet à demi-détruit. les grenadiers russes , l'arme haute... | |
 | Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...déjà tant crié. « Je levai les yeux, et jamais je n'oublierai le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée et restait...l'œil gauche attaché sur nous, le droit caché par le fusil élevé. Dans une embrasure à quelques pieds de nous, un homme tenant un boute-feu était... | |
 | Education - 1855 - 1150 pages
...avaient déjà tant crié. Je levai les yeux, et jamais je n'oublierari le spectacle que je vis. La plus grande partie de la fumée s'était élevée et restait suspendue comme un dais à vingt pieds tiu-dessus de la redoute. Au travers d'une vapeur bleuâtre, on apercevait derrière leur parapet à... | |
 | Literature - 1861 - 406 pages
...vapeur bleuâtre on apercevait derrière un parapet à demi dt'-truit les grenadiers russvs Tartnohaute, immobiles comme des statues. .Je •crois voir encore chaque soldat , l'œil gauche -attaché sur flous, le droit caché par son fusil élevé. Dans une embra•suee, àirjuelqiies pieds de nous, un... | |
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