Mémoires de l'Academie royale de médecine, Volume 111845 |
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Common terms and phrases
adhérences affection âgé altérations Anatomie pathologique anatomiques apoplexie assez bains boissons caillot cause cavité de l'arachnoïde cavité sous-arachnoïdienne céphalalgie cérébrale cerveau chirurgie chirurgiens cœur coloration compression considérable constitution convulsions crachats d'urine délire aigu douleur dure-mère dyspnée effet encéphaloïde épaisse Esquirol état fausse membrane fibrineux fièvre fistule fréquent gauche générale glotte guérison hémorrhagies heures Hippocrate hydropisies infiltré inflammations injectée j'ai jours kyste l'Académie l'animal l'apoplexie l'épiploon l'estomac l'état l'hémorrhagie l'infiltration l'inflammation l'œdème l'urètre laryngite larynx lésion liquide malade matière matière noire méd médecine médicale mélanose mémoire méningée méningite menstruation ment mentale minutes monomanie morbide mort muqueuse observations organes paralysie pathologique pendant pharynx phlegmasies pie-mère Pinel plaie pouls poumon présente presque produit pulmonaire pulsations quantité quelquefois ramollissement rapport remarquable respiration reste rouge saignée sang épanché sangsues sanguin science sentiment séreuse sérosité seulement sonde souvent substance sujet surexcitation nerveuse symptômes tion tissu cellulaire trachéotomie traitement trouve tubercules tumeurs urines vaisseaux ventricules vésicatoires vessie
Popular passages
Page lxxxvii - Ceux que nous appelons anciens étaient véritablement nouveaux en toutes choses, et formaient l'enfance des hommes proprement; et comme nous avons joint à leurs connaissances l'expérience des siècles qui les ont suivis, c'est en nous que l'on peut trouver cette antiquité que nous révérons dans les autres.
Page cxviii - Recherches sur la composition du sang dans l'état de santé et dans l'état de maladie
Page 187 - Mémoire sur l'influence de l'hérédité sur la production de la surexcitation nerveuse, sur les maladies qui en résultent, et des moyens de les guérir.
Page lxxi - On sent que les progrès de la médecine préservatrice, devenus plus efficaces par ceux de la raison et de l'ordre social, doivent faire disparaître à la longue les maladies transmissibles ou contagieuses, et ces maladies générales qui doivent leur origine aux climats, aux aliments, à la nature des travaux.
Page xxxv - Triste condition de l'homme ! il ne connaît son excellence que par ses infirmités! et pour apprendre quel est le prix de ses plus nobles attributs, intelligence et liberté, il faut qu'il en perde l'usage ! il faut que le maître de la terre ne soit plus le maître de lui-même ! Telle fut, je le...
Page lxxi - Serait-il absurde, maintenant, de supposer que ce perfectionnement de l'espèce humaine doit être regardé comme susceptible d'un progrès indéfini, qu'il doit arriver un temps où la mort ne serait plus que l'effet, ou d'accidents extraordinaires, ou de la destruction de plus en plus lente des forces vitales, et qu'enfin la durée de l'intervalle moyen entre la naissance et cette destruction n'a ellemême aucun terme assignable...