Archiv für Geschichte und Literatur, Volumes 5-6Friedrich Christoph Schlosser, Gottlob Aug Bercht Verlag der Brönner'schen Buchhandlung, 1833 - Literature and history |
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Affonso Alboin alten Armee beiden besonders Bignon Bischöfe blos Bonaparte Bonaparte's Bourrienne Consulat Cortes daher damals Decret deſſen dieſe Eduard III Einfluß endlich englischen Erklärung erste Consul Feinde Frankreich Franzosen franzöſiſchen freilich Frieden Frieden von Amiens Froissart ganze Geistlichen General Gepiden Gesandten Geschichte geseßgebenden gewiß Gothen Grafen großen Heer heißt Hennegau hernach Herr Heruler Herzog Italien Jahr Jakob Jakobiner jezt Jornandes Joseph Bonaparte Kaiser Kirche Klerus König von England Königin konnte Krieg Land laſſen läßt Leute lich ließ Longobarden machen machte Mann Minister Moniteur muß müſſen mußte Napoleon Narses Nation Nationalversammlung neuen Odoaker Pabst Paris Portugal Preußen Prinzen Procop qu'il Rath Recht Rede Regierung Reichs Republikaner Ritter Rugier Rußland Sache sagt Schloß Schweden ſein ſeine ſelbſt Senat seyn ſich ſie Sigung sollte Spanien Staat Staatsrath stand Talleyrand Theil Thibaudeau Tribunat unsere Verfaſſung Versammlung vertheidigen viel Volk ward Weise wieder wollen wollte zwei καὶ
Popular passages
Page 66 - I am sure," says the noble Lord, in his reply, through Mr. Merry, to one of M. Otto's official notes, " I am sure you must be aware that his Majesty cannot, and never will, in consequence of any representation or any menace from a foreign power, make any concession which can be in the smallest degree dangerous to the liberty of the press, as secured by the constitution of this country.
Page 148 - Mais, citoyens sénateurs, lorsque vous aurez adopté le projet de sénatus-consulte qui vous est présenté, il vous restera encore un grand devoir à remplir envers la patrie. > Le peuple sera consulté sur la proposition de l'hérédité de la dignité impériale dans la famille de Napoléon Bonaparte. « Nous attendrons avec respect sa décision souveraine sur cette importante proposition. » Mais c'est par le sénatus-consulte...
Page 195 - Que veut-elle espérer de la guerre? Coaliser quelques puissances du continent? Le continent restera tranquille; une coalition ne ferait qu'accroître la prépondérance et la grandeur continentale de la France. Renouveler des troubles intérieurs?
Page 95 - sous le nom de Français que ce peuple pourra » de nouveau se rendre célèbre. Cette nation avilie » est aujourd'hui le mépris de l'Europe. Nulle » crise salutaire ne lui rendra la liberté ; c'est par » la consomption qu'elle périra : la conquête est » le seul remède à ses malheurs.
Page 217 - Content alors d'avoir été appelé par l'ordre de celui de qui tout émane, à ramener sur la terre la justice, l'ordre et l'égalité, j'entendrai sonner la dernière heure sans regret et sans inquiétude sur l'opinion des générations futures.
Page 1 - ... convenable d'y établir un régime particulier. Le pays de Piombino nous intéresse par la facilité qu'il offre pour communiquer avec l'île d'Elbe et la Corse ; nous avons donc pensé devoir donner ce pays, sous le haut domaine de la France, à notre sœur la. Princesse Eliza, en conférant à son mari le titre de Prince de l'Empire.
Page 152 - Bonaparte et se faire sire ! -il aspire à descendre ; mais non, il croit monter en s'égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu'un nom. Pauvre homme! ses idées sont audessous de sa fortune.
Page 23 - ... l'esprit de liberté commence à paraître, et on multiplie les lettres de cachet. Je sais que ces lettres ont fait plus de bruit que de mal ; mais, après tout, une pareille institution détruit radicalement les principes. Ce qui n'est pas loi, est hors de l'essence du gouvernement, est criminel. Qui...
Page 152 - Sire! // aspire à descendre. Mais non, il croit monter en s'égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu'un nom. Pauvre homme! ses idées sont au-dessous de sa fortune. Je m'en doutai quand je le vis donner sa petite sœur à Borghèse et croire que Borghèse lui faisait trop d'honneur.
Page 190 - On se demandera un jour pourquoi, dans les six dernières années de son règne, Napoléon s'est montré sans pitié pour la Prusse : c'est que la Prusse aura été la puissance qui lui aura fait le plus de mal, en le forçant à la combattre, à la détruire, elle qu'il eût voulu étendre, fortifier, agrandir pour assurer par son concours l'immobilité de la Russie et de l'Autriche.