Archiv für Geschichte und Literatur, Volumes 5-6

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Friedrich Christoph Schlosser, Gottlob Aug Bercht
Verlag der Brönner'schen Buchhandlung, 1833 - Literature and history
 

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Popular passages

Page 66 - I am sure," says the noble Lord, in his reply, through Mr. Merry, to one of M. Otto's official notes, " I am sure you must be aware that his Majesty cannot, and never will, in consequence of any representation or any menace from a foreign power, make any concession which can be in the smallest degree dangerous to the liberty of the press, as secured by the constitution of this country.
Page 148 - Mais, citoyens sénateurs, lorsque vous aurez adopté le projet de sénatus-consulte qui vous est présenté, il vous restera encore un grand devoir à remplir envers la patrie. > Le peuple sera consulté sur la proposition de l'hérédité de la dignité impériale dans la famille de Napoléon Bonaparte. « Nous attendrons avec respect sa décision souveraine sur cette importante proposition. » Mais c'est par le sénatus-consulte...
Page 195 - Que veut-elle espérer de la guerre? Coaliser quelques puissances du continent? Le continent restera tranquille; une coalition ne ferait qu'accroître la prépondérance et la grandeur continentale de la France. Renouveler des troubles intérieurs?
Page 95 - sous le nom de Français que ce peuple pourra » de nouveau se rendre célèbre. Cette nation avilie » est aujourd'hui le mépris de l'Europe. Nulle » crise salutaire ne lui rendra la liberté ; c'est par » la consomption qu'elle périra : la conquête est » le seul remède à ses malheurs.
Page 217 - Content alors d'avoir été appelé par l'ordre de celui de qui tout émane, à ramener sur la terre la justice, l'ordre et l'égalité, j'entendrai sonner la dernière heure sans regret et sans inquiétude sur l'opinion des générations futures.
Page 1 - ... convenable d'y établir un régime particulier. Le pays de Piombino nous intéresse par la facilité qu'il offre pour communiquer avec l'île d'Elbe et la Corse ; nous avons donc pensé devoir donner ce pays, sous le haut domaine de la France, à notre sœur la. Princesse Eliza, en conférant à son mari le titre de Prince de l'Empire.
Page 152 - Bonaparte et se faire sire ! -il aspire à descendre ; mais non, il croit monter en s'égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu'un nom. Pauvre homme! ses idées sont audessous de sa fortune.
Page 23 - ... l'esprit de liberté commence à paraître, et on multiplie les lettres de cachet. Je sais que ces lettres ont fait plus de bruit que de mal ; mais, après tout, une pareille institution détruit radicalement les principes. Ce qui n'est pas loi, est hors de l'essence du gouvernement, est criminel. Qui...
Page 152 - Sire! // aspire à descendre. Mais non, il croit monter en s'égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu'un nom. Pauvre homme! ses idées sont au-dessous de sa fortune. Je m'en doutai quand je le vis donner sa petite sœur à Borghèse et croire que Borghèse lui faisait trop d'honneur.
Page 190 - On se demandera un jour pourquoi, dans les six dernières années de son règne, Napoléon s'est montré sans pitié pour la Prusse : c'est que la Prusse aura été la puissance qui lui aura fait le plus de mal, en le forçant à la combattre, à la détruire, elle qu'il eût voulu étendre, fortifier, agrandir pour assurer par son concours l'immobilité de la Russie et de l'Autriche.

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