Philosophie religieuse de la théologie naturelle en France et en Angleterre |
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2e édit Aristote besoin Bossuet Buchanan causes finales cessaire CHARLES DE RÉMUSAT choses chrétienne christianisme Clarke connaissance de Dieu conscience critique démonstration Descartes dialectique dire divin docteur doctrine dogmes écoles ÉLIPHAS LÉVI ÉMILE SAISSET esprits existence Fénelon fond forme général Gillespie Gratry idéal idées intel intelligence Janet Kant l'argument l'auteur l'Église l'esprit humain l'être l'existence de Dieu l'homme l'humanité l'idée de cause l'idée de Dieu l'infini l'ordre du monde l'ouvrage Leibniz Lescœur livre losophie lui-même lumière Mansel médecine ment métaphysique méthode morale nature nécessaire nécessité notion de Dieu ouvrage panthéisme pensée perfection phénomènes philo philoso philosophie philosophie religieuse Platon posteriori première preuve principes priori prouver pure question raison religion naturelle RÉMUSAT révélation rien s'est saint Anselme saint Augustin saint Thomas Samuel Clarke scepticisme science sens commun serait seule sophie suppose suprême surnaturel tation Théisme théodicée théologie naturelle théologiens théorie Thomassin tion Traité universelle vérité Waterland Zététique
Popular passages
Page 189 - EMILE SAISSET. L'Ame et la vie, suivi d'une Étude sur l'esthétique française. EMILE SAISSET. Critique et histoire de la philosophie. •(Fragments et discours.) AUGUSTE LAUGEL. Les Problèmes de la nature. AUGUSTE LAUGEL. Les Problèmes de la vie. AUGUSTE LAUGEL. Les Problèmes de l'âme.
Page 162 - Dieu que de l'essence d'un triangle rectiligne la grandeur de ses trois angles égaux à deux droits, ou bien de l'idée d'une montagne l'idée d'une vallée ; en sorte qu'il n'ya pas moins de répugnance de concevoir un Dieu, c'est-à-dire un être souverainement parfait, auquel manque l'existence, c'est-à-dire auquel manque quelque perfection, que de concevoir une montagne qui n'ait pas de vallée...
Page 10 - ... nommait finale. On montre dans les merveilles de la nature le résultat d'un art souverain. On ne craint même pas d'insister outre mesure sur ce point de vue, et l'on remplit l'esprit du jeune disciple de suppositions spécieuses, subtiles, hasardées, qui passent à la faveur d'une idée fondamentalement vraie, l'ordre du monde. Cependant cette idée ne peut être tenue pour un certain degré de connaissance théologique que lorsqu'elle a été développée en un raisonnement qui prouve ce...
Page 28 - C'est peut-être dans le juif Philon que l'on rencontre les premières traces de celte transposition. 2. -i L'Église, écrit M. de Rémusat, nous révèle le dogme de la Trinité; malgré les analogies qu'on a prétendu trouver dans Platon et les Alexandrins, je persiste à croire que l'idée de la Trinité est essentiellement chrétienne et que l'esprit humain ne s'y serait point élevé par lui-même. » Revue des Deux-ifondes , 1