La chronique médicale: revue de médecine scientifique, littéraire et anécdotique, Volumes 35-36Rédaction & administration., 1928 - Literature and medicine |
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ALCALINE PRATIQUE COMPRIMÉS aliment inimitable aphrodisiaque assez BASE DE PEPSINE Berlioz Botal Bourboule Cabanès CHASSAING BI-DIGESTIF chirurgie chirurgien Chronique bibliographique Chronique Médicale Chronique Médicale REVUE confrère Correspondance médico-littéraire Coste curieux dents DIASTASE Dioscoride DIOSÉINE PRUNIER dire docteur donner DOULOUREUSES VIN Dr Cabanès Dupuytren écrit édition Edom enfants Faculté de Médecine Falières femme fille général Gnaphalium guérir Gui Patin homme Hygie INCOMPLÈTES OU DOULOUREUSES j'ai Jean Bernier Jean Séval jour l'auteur l'histoire lecteurs LEMPDES lettre LITTÉRAIRE ET ANECDOTIQUE livre Louis maison maladie méde Médecine des Praticiens MÉDECINE HISTORIQUE Médicale REVUE MENSUELLE MENSUELLE DE MÉDECINE ment mort mourut Napoléon Ier Neurosine Prunier numéro passer pêcheur de perles PEPSINE PEPSINE ET DIASTASE Phosphatine Falières Port-Royal premier professeur Prunier publié question Rabelais remède réponse Rouen saint SAINTE-BEUVE sang serait seulement suivant sujet syphilis thérapeutique tion traitement trou de Botal trouve tuberculose VIN DE CHASSAING Voici XVIIe siècle XXXIV
Popular passages
Page 200 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 172 - Nous jurons de rester à jamais fidèles à la nation, à la loi et au Roi ; de maintenir de tout notre pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le Roi ; de protéger...
Page 109 - Ces principes une fois admis, il était parvenu, grâce à d'érudites expériences, à se jouer sur la langue de silencieuses mélodies, de muettes marches funèbres à grand spectacle, à entendre, dans sa bouche, des solis de menthe, des duos de vespétro et de rhum.
Page 236 - S'asseoir sur l'aigle ainsi que le Jupin classique, Se loger au Kremlin, vivre à l'Escurial, Au moment où l'on est le plus impérial, A l'heure où l'on remplit de son nom les deux pôles, Voilà qu'on est poussé dehors par les épaules. A rien ne sert d'aller se cacher dans des trous. Dieu vient. On perd sa peine à fermer les verrous. Ce fâcheux-là n'est point un de ceux qu'on évite. Hélas, mon prince, on meurt brutalement et vite.
Page 143 - Quitter l'empyrée pour les plus tristes séjours de la terre! les anges immortels de la poésie et de l'amour et leurs chants inspirés, pour de sales infirmiers, d'affreux garçons d'amphithéâtre, des cadavres hideux, les cris des patients, les plaintes et le râle précurseurs de la mort!...
Page 109 - Il pensait aussi que l'assimilation pouvait s'étendre, que des quatuors d'instruments à cordes pouvaient fonctionner sous la voûte palatine, avec le violon représentant la vieille eau-de-vie, fumeuse et fine, aiguë et frêle ; avec l'alto simulé par le rhum plus robuste, plus ronflant, plus sourd ; avec le vespétro...
Page 124 - Ce médiateur, debout entre les deux contractans , tient une pierre aiguë et tranchante, avec laquelle il leur fait à tous deux une incision à la paume de la main près des grands doigts. Il prend ensuite un petit morceau de l'habit de chacun , le trempe dans leur sang, et en frotte sept pierres qui sont au milieu d'eux, en invoquant Bacchus et Uranie.
Page 36 - II ya, dit-il, trente à quarante ans que je philosophe, fort persuadé de certaines choses, et voilà que je commence à en douter : c'est bien pis, il y en a dont je ne doute plus, désespéré de pouvoir jamais y rien comprendre.
Page 314 - Saint-'CyT, dicoèse de Chartres, étant priées d'attester pour rendre hommage à la vérité et dans une intention qui n'a rien de prophane ou frivole ce que nous pouvons savoir touchant...
Page 109 - ... des quatuors d'instruments à cordes pouvaient fonctionner sous la voûte palatine, avec le violon représentant la vieille eau-de-vie, fumeuse et fine, aiguë et frêle ; avec l'alto simulé par le rhum plus robuste, plus ronflant, plus sourd; avec le vespétro déchirant et prolongé, mélancolique et caressant comme un violoncelle; avec la contre-basse, corsée, solide et noire comme un pur et vieux bitter. On pouvait même, si l'on voulait former un quintette, adjoindre un cinquième instrument,...