Cours de littérature ancienne, moderne et étrangère à l'usage des jeunes personnes des deux sexes, Volume 1H. Bossange, 1830 - Literature |
Other editions - View all
Common terms and phrases
à-la-fois admirable âme Aristote arts ATHALIE Athènes auteur dramatique auteur tragique avant J. C. beau beauté belle Boileau brillant caractère César chants charme cher Cicéron ciel cieux cœur comédie comique composa Corneille Daphnis Démosthènes Dieu dieux doux écrit élégance éloquence enfans Eschyle Eschyne Ésope esprit Euripide fable fils fleurs fortune FRANÇOIS Ier gaîté génie genre gloire goût Grecs guerre Héraclius héros heureux historien hommes imitée J'ai JOAS JOSABETH jour l'amour l'an de Rome l'art l'auteur l'Énéide l'esprit l'histoire l'univers latin long-temps madame main malheureux Marot MÉNALQUE mérite mœurs Molière mort l'an naturel ouvrages peint père Périclès peuple Phèdre Philoctète philosophe PHOCAS pièce Pierre Corneille Pindare Plaute pleurs poème poésie poète poète tragique premier Pyrrhus qu'un Racan Racine rien Romains sang satire scène Seigneur sentimens sentiment seul siècle Sophocle sort style sublime succès sujet talent tendre Térence théâtre Théocrite tour-à-tour tragédie traits versification veux Virgile Voltaire yeux
Popular passages
Page 162 - Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans, beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde, Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir; Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comme...
Page 116 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir. Par ce sage écrivain la langue réparée N'offrit plus rien de rude à l'oreille épurée.
Page 117 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 131 - Je suis maître de moi comme de l'univers; Je le suis, je veux l'être. 0 siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 116 - Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces noms de maîtres de la terre, D'arbitres de...
Page 152 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Page 192 - Le roi pleurera, le prince sera désolé, et les mains tomberont au peuple de douleur et d'étonnement &.
Page 192 - Le matin elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée...
Page 169 - Leur talent dans l'oubli demeurerait caché ; Et qui saurait sans moi que Cotin a prêché? La satire ne sert qu'à rendre un fat illustre : C'est une ombre au tableau , qui lui donne du lustre.
Page 142 - Mon sang fût le premier que vous dussiez verser. Non que la peur du coup dont je suis menacée Me fasse rappeler votre bonté passée : Ne craignez rien : mon cœur, de votre honneur jaloux...