... Montaigne et ses amis: La Boétie.- Charron.- Mlle. de Gournay. Nouv. éd..., Volume 2Colin et cie, 1898 |
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... Marie de Montaigne le 28 septembre 1579. Deux autres gentilshommes encore accrurent la petite troupe , le seigneur du Hautoi , gentilhomme lorrain , et le sei- gneur d'Estissac . Bien qu'il fût fort jeune , celui - ci semble avoir été ...
... Marie de Montaigne le 28 septembre 1579. Deux autres gentilshommes encore accrurent la petite troupe , le seigneur du Hautoi , gentilhomme lorrain , et le sei- gneur d'Estissac . Bien qu'il fût fort jeune , celui - ci semble avoir été ...
Page 156
... Marie Le Jars de Gournay et que se noua entre le philosophe et la savante fille cette alliance littéraire qui devait si étroitement les unir l'un à l'autre . Celle- ci , vers l'àge de vingt ans , avait lu , par hasard , les Essais ...
... Marie Le Jars de Gournay et que se noua entre le philosophe et la savante fille cette alliance littéraire qui devait si étroitement les unir l'un à l'autre . Celle- ci , vers l'àge de vingt ans , avait lu , par hasard , les Essais ...
Page 157
... Marie de Gournay , parce qu'elle ne lui rappelait son amitié pour La Boétie que par la sincérité de l'expression . En échange de cet hommage qui le touchait en l'ho- norant , Montaigne consacra à la jeune fille une paternelle gratitude ...
... Marie de Gournay , parce qu'elle ne lui rappelait son amitié pour La Boétie que par la sincérité de l'expression . En échange de cet hommage qui le touchait en l'ho- norant , Montaigne consacra à la jeune fille une paternelle gratitude ...
Page 209
... Marie de Gamaches , et elle consolait la vieillesse de l'aïeule . C'est Marie de Gamaches qui veilla sur les derniers jours de sa grand'mère et qui lui ferma les yeux 2. Mme de Mon- taigne était , au reste , bien préparée à la mort ...
... Marie de Gamaches , et elle consolait la vieillesse de l'aïeule . C'est Marie de Gamaches qui veilla sur les derniers jours de sa grand'mère et qui lui ferma les yeux 2. Mme de Mon- taigne était , au reste , bien préparée à la mort ...
Page 317
... Marie de Jars de Gournay vit le jour à Paris , ainsi qu'elle nous l'apprend elle - même , et fut l'aînée des enfants de Guillaume de Jars et de Jeanne de Hacque- ville . Le père tirait son nom et son origine du bourg de Jars , près de ...
... Marie de Jars de Gournay vit le jour à Paris , ainsi qu'elle nous l'apprend elle - même , et fut l'aînée des enfants de Guillaume de Jars et de Jeanne de Hacque- ville . Le père tirait son nom et son origine du bourg de Jars , près de ...
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Archives historiques assez assurément avaient avis besoin Biron Boulogne c'était Cahors cardinal celui-ci chanoine château Trompette choses Condom connaitre date demeurer devait Dieu dire Discours chrétiens docte fille doctrine doute Dr Payen écrit écrit-il édition esprit Essais eût faisait fille d'alliance Gironde Guyenne Henri de Navarre Henri III Henri IV homme huguenots imprimer imprimeur j'ai jour jugement jurats Juste Lipse L'achevé d'imprimer l'auteur l'église L'Estoile l'homme laisser Léonor de Montaigne lettre livre lui-même maire de Bordeaux Majesté Malherbe mandait maréchal de Matignon Marie Melle de Gournay ment mettre Michel de Montaigne Millanges Mme de Montaigne mois mort n'avait n'était œuvre parfois passé pensée Petit in-8 philosophe Pierre Charron Pierre de Brach plaisir Pourtant pouvait prêcher première prince Proumenoir publiée publique raison Rochemaillet Ronsard s'était s'il Sagesse sais saurait savante fille semble sentiments sera seulement sieur soin sorte taigne théologie théologien tion traits trouve Vaillac vérité vrai
Popular passages
Page 167 - Lipsius1, le plus sçavant homme qui nous reste, d'un esprit très-poly et judicieux, vrayement germain à mon Turnebus*, eust et la volonté, et la santé, et assez de repos pour ramasser en un registre, selon leurs divisions et leurs classes, sincèrement et curieusement, autant que nous y pouvons voir, les opinions de l'ancienne philosophie sur le subject de nostre estre et...
Page 141 - PERSONNE n'est exempt de dire des fadaises; le malheur est de les dire curieusement : Nae iste magno conatu magnas nugas dixerit.
Page 17 - ... seulement, à la mode de notre noblesse française, combien de pas a Santa Rotonda *" ou la richesse des caleçons de la signora Livia; ou, comme d'autres, combien le visage de Néron, de quelque vieille ruine de là, est plus long ou plus large que celui de quelque pareille médaille...
Page 9 - Là où il avait accoutumé de dire qu'après avoir passé une nuit inquiète, quand au matin il venait à se souvenir qu'il avait à voir ou une ville ou une nouvelle contrée, il se levait avec désir et allégresse. Je ne le vis jamais moins las ni moins se plaignant de ses douleurs, ayant...
Page 163 - Je n'ai jamais reçu bien quelconque de la libéralité des rois, non plus que demandé ni mérité, et n'ai reçu nul paiement des pas que j'ai employés à leur service, desquels Votre Majesté a eu en partie connaissance. Ce que j'ai fait pour ses prédécesseurs, je le ferai encore beaucoup plus volontiers pour elle ; je suis, Sire, aussi riche que je me souhaite. Quand...
Page 252 - De mille fruictz, de mainte fleur et plante : Bacchus aussi sa bonne vigne y plante, Par art subtil, sur montaignes pierreuses...
Page 14 - ... raison ? à la curieuse et laborieuse quête des sciences qui l'a conduit à la bêtise ? à cette rare aptitude aux exercices de l'âme, qui l'a rendu sans exercice et sans âme ? J'eus plus de dépit encore que de compassion, de le voir à Ferrare en si piteux état, survivant à soimême, méconnaissant et soi et ses ouvrages, lesquels, sans son su, et toutefois à sa vue, on a mis en lumière incorrigés et informes.
Page 158 - ... l'arc-boutant ; et oyez à présent de quel quartier vient la voix et instruction de l'une et de l'autre ; et si les armes bruyent moins pour cette cause que pour cette là.
Page 49 - A mon arrivée, je me déchiffrai* fidèlement et consciencieusement, tout tel que je me sens être : sans mémoire, sans vigilance, sans expérience et sans vigueur ; sans haine aussi, sans ambition, sans avarice et sans violence ; à ce* qu'ils fussent informés et instruits de ce qu'ils avaient à attendre de mon service. Et parce que la connaissance de feu mon père...
Page 9 - ... une ville ou une nouvelle contrée, il se levait avec désir et allégresse. Je ne le vis jamais moins las ni moins se plaignant de ses douleurs, ayant l'esprit, et par chemin et en logis, si tendu à ce qu'il rencontrait et recherchant toutes occasions d'entretenir les étrangers, que je crois que cela amusait son mal.