Cours primaire de grammaire française ...: Cours supérieur et complémentaire. Brevet élémentaireHachette et cie, 1914 - 444 pages |
Common terms and phrases
2º Donnez 3º Expliquez adjectifs adjectifs indéfinis adverbe aimé ANDRÉ THEURIET Apprenez par cœur Astyage avez Brevet élémentaire chant cheval chien chose complément direct d'objet Cond conjonction Conjuguez Copiez le morceau Copiez les phrases Décomposez Définissez Donnez le sens employé enfants Exercices complémentaires fém féminin FÉNELON fleurs formez des noms futur simple homme Imparf Impér invariable j'ai l'adjectif l'homme l'infinitif langue langue d'oïl latin Lisez la poésie Lisez le morceau Lisez les phrases locutions Louis XIV masculin ment morceau suivant mots suivants noms composés oiseaux paronymes participe passé participe présent Passé simp père phrases renfermant phrases suivantes pluriel PLUS-QUE-PARFAIT poésie suivante préposition prés PRÉSENT PASSÉ pronom relatif proposition principale proposition subordonnée Qu'appelle-t-on Qu'est-ce Questionnaire racine radical RÉDACTION règle repentir seul siècle signifie sing sorte Subj subjonctif suffixe suffixe formez suivant en indiquant suivant en mettant suivantes en remplaçant sujet syllabe terre tombe verbes suivants VOCABULAIRE ET ANALYSE voyelle
Popular passages
Page 405 - Que l'homme, étant revenu à soi, considère ce qu'il est au prix de ce qui est; qu'il se regarde comme égaré dans ce canton détourné de la nature; et que, de ce petit cachot où il se trouve logé, j'entends l'univers, il apprenne à estimer la terre, les royaumes, les villes et soi-même son juste prix.
Page 405 - Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers; que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit et qu'il s'étonna de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent.
Page 102 - ... afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la constitution et au bonheur de tous.
Page 87 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 404 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin, Et Rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 409 - A la nuit qu'il fallut passer en présence des ennemis, comme un vigilant capitaine, il reposa le dernier, mais jamais il ne reposa plus paisiblement. A la veille d'un si grand jour, et dès la première bataille, il est tranquille, tant il se trouve dans son naturel : et on sait que le lendemain, à l'heure marquée, il fallut réveiller d'un profond sommeil cet autre Alexandre.
Page 218 - Non, Monsieur le maréchal : les premiers sentiments sont toujours les plus naturels. » Le Roi a fort ri de cette folie, et tout le monde trouve que voilà la plus cruelle petite chose que l'on puisse faire à un vieux courtisan. Pour moi, qui aime toujours à faire des réflexions, je voudrais que le Roi en fît là-dessus, et qu'il jugeât par là combien il est loin de connaître jamais la vérité.
Page 228 - N'y at-il personne qui veuille me ressusciter, en me rendant mon cher argent, ou en m'apprenant qui l'a pris ? Euh ! que dites-vous ? Ce n'est personne.
Page 87 - LE CHÊNE ET LE ROSEAU. LE chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Page 131 - Pêcheur mélancolique, il regarde les cieux. Le sang coule à longs flots de sa poitrine ouverte ; En vain il a des mers fouillé la profondeur; L'Océan était vide, et la plage déserte; Pour toute nourriture il apporte son cœur. Sombre et silencieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses fils ses entrailles de père, Dans son amour sublime il berce sa douleur ; Et regardant couler sa sanglante mamelle.